Ouganda : Frappés par leur famille à cause de leur conversion, les deux frères avaient acceptés Jésus en écoutant la radio

Ils avaient entendu l'Evangile par une émission de radio. Touchés ils ont cherché une église à Mbale le 22 mai 2023, celle du pasteur qui avait prêché à la radio.

" À la fin du culte, mon frère et moi avons parlé avec le pasteur, nous lui avons posé plusieurs questions liées au message de l'Évangile. Après cela, nous nous sommes abandonnés à Jésus ", a déclaré Ibrahim à Morning Star News

Il y a 3 semaines, ce 3 juin 2023, ils ont été violemment battus par des proches lorsqu'ils ont refusé de revenir à l'islam. Janati Tisuubira, 22 ans, et son frère Ibrahim Musa Kakembo, 33 ans, ont été hospitalisés durant environ une semaine. Vivant à 135 km de chez eux pour des raisons professionnelles, ils s'étaient rendus à l'enterrement de leur sœur aînée. C'est après l'enterrement que leurs proches se sont déchaînés sur eux.

Les membres de la famille ont fait des enregistrements vidéo sur téléphone portable des frères en train de prier. Après cela, ils ont été convoqués dans le salon pour s'expliquer sur la raison pour laquelle ils priaient au nom du Christ plutôt qu'au nom de Muhammad. Les frères sont restés silencieux.

"Ils nous ont accusés de ne plus être musulmans", a déclaré Kakembo. "Notre frère aîné, Shaban, enseignant de profession au centre islamique Ibun Bazi, s'est mis en colère contre nous et a commencé à nous frapper avec un objet contondant qu'il avait avec lui, le reste de la famille s'est mis à nous battre violemment."

Lorsque leur père est entré, il a crié : "Arrêtez, ne les tuez pas chez moi, renvoyez-les simplement loin de chez moi – à partir d'aujourd'hui, je ne suis plus leur père et ils ne sont plus mes enfants".

Les membres de la famille ont fait des enregistrements vidéo sur téléphone portable des frères en train de prier. Après cela, ils ont été convoqués dans le salon pour s'expliquer sur la raison pour laquelle ils priaient au nom du Christ plutôt qu'au nom de Muhammad. Les frères sont restés silencieux.

"Ils nous ont accusés de ne plus être musulmans", a déclaré Kakembo. "Notre frère aîné, Shaban, enseignant de profession au centre islamique Ibun Bazi, s'est mis en colère contre nous et a commencé à nous frapper avec un objet contondant qu'il avait avec lui, le reste de la famille s'est mis à nous battre violemment."

Lorsque leur père est entré, il a crié : "Arrêtez, ne les tuez pas chez moi, renvoyez-les simplement loin de chez moi – à partir d'aujourd'hui, je ne suis plus leur père et ils ne sont plus mes enfants".

"Mes frères ont obéi à notre père et nous ont renvoyés dans la nuit", a déclaré Kakembo. "Je saignais d'une coupure profonde près de l'œil droit et du front, tandis que mon frère souffrait d'une coupure profonde au front, d'une blessure à l'œil et d'un cou enflé."

Après avoir marché environ 200 mètres, ils ont pu téléphoner au pasteur de Mbale, qui s'est arrangé pour que des chrétiens de Bulamogi, dans le district de Kaliro, à 124 kilomètres, leur viennent en aide. Ils ont été conduits dans une clinique médicale à Kaliro.

"Nous avons besoin de prières pour que Dieu nous réconforte, nous sommes rejetés, ostracisés,  déshérités et reniés ", a déclaré Kakembo.

Morning Star

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