Interruption volontaire de grossesse
Selon cette enquête de LifeWay,
70% des femmes ayant déjà avorté, ont affirmé être chrétiennes.
43% d’entre elles affirment qu’elles participaient à des réunions religieuses et se rendaient à l’église au moins une fois par mois au moment où elles ont choisi d’avorter.
7% de ces femmes en ont parlé à quelqu’un de l’église.
20% des femmes chrétiennes ayant avorté disent fréquenter l’église au moins une fois par semaine, même au moment du choix de l’avortement.
6% des femmes chrétiennes ayant avorté, disent fréquenter l’église plus d’une fois par semaine
Face à ces statistiques alarmantes, le président de Net Care, Roland C. Warren, affirme :
« Beaucoup de travail doit être fait pour aider les femmes dans l’église. Le point positif dans tout cela est que les églises se montrent réceptives à l’idée d’inclure un programme d’assistance aux femmes se trouvant dans ces situations ».
Jeanne Mancini, présidente de la Marche pour la Vie, aux Etats-Unis, explique que les résultats de cette enquête ne salissent pas forcément l’image de l’église :
« La réalité est que ces femmes savent que ce qu’elles ont fait n’est pas bien »
«Elles cherchent du réconfort auprès de l’église, quelqu’un qui les aide à croire que tout n’est pas perdu et que tout ira bien, ce qu’elles ne trouvent pas dans les églises, du moins dans la majorité des églises où les femmes sont davantage confrontées à des ragots, plutôt qu’à un véritable appui spirituel même si leur dire que l’avortement ne consiste pas à tuer un être humain, n’est pas honnête ».
Mancini propose que ces femmes ayant traversé un tel dilemme puissent :
« Trouver un espace de miséricorde, d’amour, d’espoir et de chaleur. C’est vraiment cela que nous sommes appelés à faire.»
Avec les informations de :
THE CHRISTIAN POST