Préparons-nous à revivre le temps des Actes des Apôtres ! (Partie 2 sur 3)

2. Accélération des conversions et manifestation de l’Esprit

Plus on avancera dans le temps, plus les derniers chrétiens rencontreront les mêmes difficultés que les premiers.

C’est une interprétation et une vision personnelle que je ne demande à personne de suivre à la lettre évidement …

Le disciple est celui qui suit l’enseignement de Jésus, c’est-à-dire tous les véritables chrétiens. Un apôtre est le disciple à qui le Seigneur a confié une mission particulière. Concernant notre temps, cela impliquera un certain nombre de personnes, pour ne pas dire tous les vrais chrétiens qui sont malheureusement à l’échelle mondiale, trop peu nombreux pour tout ce qu'il y a à faire :

Les individus concernés dans ces passages sont des enfants, des jeunes, des personnes âgées, des femmes et des hommes qui seront tous appelés à l’action et ce directement par Dieu.

Dieu mobilisera toute son armée humaine sans distinction, on ne pourra plus dire :

• Tu es une femme tu ne peux pas faire telle chose
• Tu es trop jeune tu n’as pas le recul nécessaire pour faire telle chose

Ce sera fini, bien que je pense que les scribes et pharisiens modernes, viendront s’opposer au plan majeur de Dieu en bloquant une catégorie de personnes dans l’apostolat, à savoir les femmes !

J'ignore si ce que chacun peut faire ou ne pas faire, je n'ai pas d'avis là dessus. Par contre je crois que chacun est appelé individuellement et personnellement par Dieu. Je crois aussi que certaines personnes font actuellement des choses auxquelles elles n'ont jamais été appelées, et que leur ministère n'est pas béni comme celui de certains pasteurs qui assument cette charge alors que Dieu ne leur a jamais demandé de devenir pasteurs et qui assument cette fonction sans aucune onction.

La Parole nous dit pourtant que c'est l'Esprit qui distribue les rôles selon son propre vouloir et non selon une volonté d'être humain :

Plusieurs des lettres de Paul étaient adressées pour un temps en particulier. Par exemple lorsqu’il dit que la femme doit se taire dans l’église, il le disait pour une raison très précise. Les lieux de rassemblements ressemblaient à ceci : les hommes en bas et les femmes à l’étage ou les hommes devant les femmes au fond :

Nous étions 500 étudiants à assister à nos premiers cours à la faculté d’économie. Ceux qui étaient attentifs et silencieux étaient ceux qui était devant proche du professeur, puis de temps en temps une sorte de brouhaha en provenance de ceux de derrière, perturbait tout l’amphithéâtre. Combien de fois le professeur devait crier :

• Taisez-vous ! Si vous ne voulez pas écouter, restez chez vous !

A l’époque biblique où les femmes étaient séparées des hommes et que la distance à l’orateur ne permettait pas de tout entendre, Paul de la même façon dit : Taisez-vous  et vous demanderez à vos maris à la maison (ce que vous n’avez pas entendu) !

Aujourd’hui encore dans les grandes églises, on attend régulièrement le pasteur crier la même chose : Taisez-vous !

Non pas aux femmes en particulier, mais à tous ceux qui font du bruit et qui se trouvent généralement au fond de l'église !

Le temps était déjà court à cette époque, mais pas forcément pour les exactes mêmes raisons qu’aujourd’hui.

Les apôtres savaient que d’après les prophéties de Jésus, la fin arriverait seulement après que TOUTES les nations aient entendu la Bonne Nouvelle (Evangile, Annonce du Royaume). Ils étaient les premiers à aller en mission, ils savaient donc que ce n’était pas pour leur époque, l’urgence venait surtout du fait qu’il y avait des âmes à sauver à l'instant et qu’ils étaient très peu nombreux pour la tâche d'atteindre un maximum de peuples et de nations. Il va s’en dire qu’ils n’avaient pas les mêmes moyens de transports et télécommunications qu’aujourd’hui.

Lorsque les premiers apôtres se sont mis à annoncer le Royaume, ils ne demandaient pas à ceux qui croyaient de payer ni d’attendre des mois de formation pour se faire baptiser. Les gens écoutaient, étaient convaincus et demandaient le baptême, ils étaient alors baptisés quasiment sur place, et l’Esprit de Dieu prenait le relais.