*Je suis persuadée que l'acceptabilité sociale est loin d'être suffisante pour qu'une majorité de la population adhère à ce programme d'implantation d'une puce et ce, dans tous les pays occidentaux.
Je crois que nous sommes plutôt rendus, globalement, à une étape de préparation des collectivités à l'idée de se faire implanter un dispositif sous-cutané. On doit d'abord faire accepter la nécessité du suivi des cas potentiellement infectés, soit en faisant des tests aléatoires obligatoires dans les milieux de travail et à domicile, de maison en maison, par des escouades sanitaires. D'ailleurs, un projet de loi a été déposé à cet effet le 1er mai aux États-Unis.
Pour que les populations acceptent de se faire injecter des implants, ça va prendre une intensification du sentiment d'insécurité, une ambiance permanente de terreur, ainsi que d'autres épisodes de confinement qui vont rendre les gens à bout de nerfs, implorant le gouvernement d'intervenir.
Bien sûr qu'une portion de la population américaine, armée jusque dans la salle de bain, va se lever contre ces mesures et va refuser de se soumettre à l'implantation d'une puce. Mais ça, les architectes de la gouvernance mondiale le savent et étudient les scénarios depuis des décennies. C'est là, je crois, que l'armée des Qanon (opération des renseignements), dont le documentaire "Plandemic" va agir comme un adjuvant, va servir les visées de ceux qu'elle dénonce... sujet qui sera développé prochainement.