J’étais écolier dans les années 90. Avec des amis un soir, nous avons décidé de jouer à la planche ouija après avoir regardé une série de l’époque. Seuls dans la chambre, nous avons appelé un esprit et j’ai demandé à l’esprit dans combien d’années j’allais mourir. L’esprit a répondu : 10 jours. J’étais apeuré en rentrant chez moi. Durant trois jours j’avais toujours une Bible sur moi et une grosse croix au cou. Mon père m’a demandé pourquoi je me comportais de la sorte, j’ai fini par lui dire ce qu’on avait fait. Il était athée, il ne m’a pas cru. Nous avons alors reconstitué un ouija à la maison, j’ai convoqué l’esprit et mon père a bien vu que l’esprit s’est manifesté et m’a dit que mourrais dans 7 jours. Deux jours après nous avons contacté l’esprit de la même façon, il a dit : 5 jours. Je n’étais qu’au primaire et j’étais désespéré. Mon père a calculé que le jour annoncé par l’esprit était un jour d’école. Il m’a dit de ne pas aller à l’école ce jour là, et je suis resté à la maison. Il est resté avec moi, et il ne s’est jamais rien passé. Je n’ai plus jamais joué au ouija. CP
Nous étions une bande d’amis entre 12 et 15 ans, chrétiens, "nés dans l'église", fréquentant l’église tous les dimanches mais aussi les samedis, car nous partagions plusieurs activités : camp des jeunes, cinéma à l’église, jeux de rôle, concours, etc.
Naturellement nous avons formé un groupe whatsapp. La fille du pasteur y était aussi. Par moment les conversations étaient "limites", la fille du pasteur s’en est rendu compte et elle a très vite quitté le groupe. Dès qu’elle a quitté le groupe, nous étions déchaînés. Les conversations ont vite pris une tournure sexuelle avec des blagues vraiment vaseuses. Puis un jour, filles et garçons, nous étions au domicile de l'un d'entre nous, pour jouer à la planche ouija. Nous avons demandé si un esprit était là. Un esprit s’est manifesté, il a dit qu’il se trouvait sous la voiture devant la maison. Nous avons tous couru et sous la seule voiture devant la maison se trouvait un immense chat noir qui sifflait. Apeurés nous sommes vite rentrés dans la maison de notre ami pour rejoindre sa chambre où nous avions dessiné le ouija au sol. Une des filles s’est mise à changer de voix. Ça ressemblait à une blague et personne n’y croyait. Puis elle a repris sa voix en criant faiblement « au secours ! » comme si elle avait fait beaucoup d'efforts pour reprendre sa place, puis la voix caverneuse revenait, c'était la voix d'un homme vraiment fâché, qui nous insultait et nous maudissait. Nous avons vite compris qu’elle était possédée et nous avons appelé les parents qui étaient à mille lieux de s’imaginer nos activités.
Le pasteur a été appelé, il a vite chassé l’esprit en nous grondant comme jamais auparavant. Le dimanche le pasteur a parlé de nous devant toute l’église. Il parlait de notre inconscience et les parents nous fusillaient du regard. Il y avait comme un fossé d’incompréhension entre nous. En réalité personne ni le pasteur ni nos parents n’avaient jamais abordé le sujet des esprits comme étant des démons dont on devait se méfier. MDLA
Enfant, j’avais joué à la planche ouija avec des amis. Il ne s’était jamais rien passé aucune manifestation, rien. Un jour déçu de ne pas avoir eu des frissons, j’ai dit : s’il y a un esprit ici, c’est un lâche !
Plusieurs années plus tard, j’étais marié et j’avais un emploi, une vie relativement normale et stable. Mais j’ai commencé soudain à avoir des cauchemars. C’était intrusif, j’ai lu quelque part quelqu’un qui disait « ce n’était pas ma façon habituelle de rêver ou de faire des cauchemars » c’est vraiment cela. C’est brusque, intrusif, on se sent soudain envahi au point où on constate qu’il y a « quelque chose ». Je me suis alors approché de mon prêtre pour qu’il m’aide. Mais avant il m’a posé tout un tas de questions. Il m’a demandé si quelque chose avait récemment changé dans ma vie, j’ai dit non. Il m’a demandé si j’avais accepté un cadeau, un souvenir comme un masque venu d’un pays exotique, j’ai dit non. Il est venu chez moi il a prié. Je priais, il priait, cela a duré plus d’une heure. Puis d’un coup, j’ai entendu une voix qui s’enfuyait en disant « Je ne suis pas un lâche ! ». Sur le coup je n’ai rien compris. Nous avons continué les prières en ne sachant pas que l’autre avait entendu la même chose. Après avoir prié le pasteur m’a demandé si j’avais traité quelqu’un de lâche, quelqu’un qui serait déjà mort. Je ne voyais pas. Il m’a demandé si cela s’est passé il y a longtemps. Pendant plusieurs jours j’ai cherché en moi et puis, toute l’histoire de la planche ouija m’est revenu. J’en ai parlé au prêtre, il m’a dit que malgré ma conversation, certaines choses comme l’occultisme doivent être verbalement confessées devant Dieu pour qu’elles soient déliées. MMAE
Si quelqu'un s'adresse aux morts et aux esprits, … je tournerai ma face contre cet homme, je le retrancherai du milieu de son peuple. Lévitique 20:6. Saül mourut, parce qu'il se rendit coupable d'infidélité envers l'Éternel, dont il n'observa point la parole, et parce qu'il interrogea et consulta ceux qui évoquent les morts. 1 Chroniques 10:13. Qu'on ne trouve chez toi personne qui … consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Deutéronome 18:10-11. Si l'on vous dit : Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir, Qui poussent des sifflements et des soupirs, Répondez : Un peuple ne consultera-t-il pas son Dieu ? S'adressera-t-il aux morts en faveur des vivants ? Ésaïe 8:19. LSG