L’homme sur qui la marque de luxe s’est déchargée s’est défendu sur Instagram. Il a été embauché uniquement pour prendre des photos.
"Suite aux centaines de courriers et messages haineux que j'ai reçus à la suite des photos que j'ai prises pour la campagne Balenciaga, je me sens obligé de faire cette déclaration", écrit Galimberti.
"Je ne suis pas en mesure de commenter les choix de Balenciaga, mais je dois souligner que je n'avais en aucun cas le droit de choisir ni les produits, ni les modèles, ni la combinaison de ceux-ci."
"En tant que photographe, on m'a seulement et uniquement demandé d'éclairer les scènes et de prendre les photos selon mon style de signature", poursuit-il.
"Comme d'habitude pour un shooting commercial, la direction de la campagne et le choix des objets exposés ne sont pas entre les mains du photographe."
"(...) Les lynchages comme ceux-ci sont dirigés contre de mauvaises cibles et détournent l'attention du vrai problème et des criminels. "