Ils sont de plus en plus nombreux à prendre la décision de retirer leurs enfants du système de l'éducation nationale, afin de les protéger de l'éducation sexuelle imposée par l'OMS et appliquée par certains Gouvernements à travers ceux qui ont été chargés de bâtir le nouveau monde.
Souvenirs de 2016 :
https://www.nouvelobs.com/politique/20160402.OBS7716/belkacem-en-visite-express-chez-les-francs-macons.html
Il y a quelques jours au Royaume-Uni, Will et Maria Taylor ont retiré leur fille de quatre ans de l'école après qu'on lui ait montré le livre "Grandad's Pride" (La fierté de grand-père), mettant en vedette des hommes en tenue de bondage, écrit par un lauréat du prix du livre pour enfants.
"Lorsque nous sommes allés à l'école pour faire part de nos inquiétudes concernant le livre, pour être honnêtes, nous nous attendions à ce que le personnel s'excuse immédiatement et ce serait la fin de l'affaire. Mais les responsables se sont mis à défendre les images du livre."
"Ils ont fait valoir que les enfants ne comprendraient pas ou ne percevraient pas les images érotiques ou sexuelles. Le personnel a affirmé que les images représentaient simplement un « déguisement » et ne seraient pas perçues comme érotiques par un enfant, car ils n'ont aucune idée de ce qu'est « érotique »".
Le personnel a nié que les images soient érotiques, disant au couple : "C'est juste votre opinion."
"Se disputer avec nous sur la pertinence de ces images sexuelles a rapidement entamé la confiance que nous avions envers l’équipe de l'école. À ce stade, j'étais inquiet et j'ai retiré notre fille de l'école."
https://www.dailymail.co.uk/news/article-12432069/Parents-remove-four-year-old-daughter-pre-school-shown-Grandads-Pride-childrens-book-featuring-men-bondage-gear-women-trans-surgery.html
Au mois de juillet dernier, toujours au Royaume-Uni, un père chrétien a retiré sa fille de neuf ans de l'école, horrifié par ce qu'on lui enseignait dans les cours obligatoires d'éducation sexuelle.
Les professeurs voulaient montrer une vidéo d'un garçon ayant une érection et éjaculant, à des élèves de 9 ans, parmi lesquels sa fille.
Des plans de cours secrets ont montré que les écoliers avaient des leçons sur le sexe anal et les orgasmes. Lorsqu'il a demandé à retirer sa fille du cours d'éducation sexuelle pour des raisons religieuses, on lui a répondu qu'il n'avait pas le droit de la retirer "parce qu'il est important que tous les enfants reçoivent ce contenu, couvrant des sujets tels que les amitiés et la façon de rester en sécurité".
M. Doherty, ancien ingénieur aéronautique, a préféré désinscrire sa fille de l'école pour de bon.
Michael Doherty - https://www.dailymail.co.uk/news/article-12315645/Christian-father-removes-nine-year-old-daughter-school-horrified-taught-compulsory-sex-education-lessons.html
Au Brésil, un procureur a encouragé les parents et tuteurs à porter plainte contre les écoles pour dommages moraux suite aux enseignements sur l'idéologie du genre. Il a même écrit une lettre-type, à envoyer avec accusé de réception.
Le procureur général Guilherme Schelb, a développé un modèle de "notification extrajudiciaire" pour les parents et/ou tuteurs, afin de protéger leurs enfants contre l'enseignement de l'idéologie du genre dans les écoles. A travers ce simple document, les écoles et les enseignants sont avertis par les familles, qu'ils seront poursuivis en justice pour dommages moraux, pour avoir enseigné cette idéologie qui vise par l'éducation, à promouvoir une révolution sexuelle et familiale.
Si les enseignants et les écoles refusent de signer le document, les parents et/ou tuteurs, peuvent entreprendre deux actions pour que le document ait une validité légale. La première est de se rendre au Registre des Titres et Documents avec le nom et l'adresse de l'école, afin que l'école soit communiquée via notaire. La seconde consiste à transmettre la notification par lettre recommandée avec AR (avis de réception) via La Poste.
Cela me rappelle certains témoignages durant la première campagne de vaccination contre le Covid en France. Devant certains médecins qui voulaient presque forcer leurs patients à se faire vacciner, certains patients ont demandé à leurs médecins de signer un document qui atteste que le vaccin est sûr et qu'ils seraient responsables des conséquences des effets secondaires. Aucun médecin n'a voulu signer, restant bouche-bée par ce retournement de situation.
Puisque l'idéologie du genre est légale au Brésil, ce procureur a trouvé la solution de tenir l'école responsable pour tout dommage psychologique, affectif et mental, qui surviendrait chez ces enfants, suite à l'éducation sexuelle reçue dans l'école concernée.
Cette notification peut être faite en 3 exemplaires (la famille conserve un exemplaire et les autres sont remis à la commission scolaire et aux enseignants) par un seul membre de la famille ou par un groupe de parents.
Dans certaines villes, des groupes de parents dont les enfants étudient dans la même école, créent des groupes WhatsApp pour échanger des informations sur l'éducation de leurs enfants et suivre leur endoctrinement, surtout sur la reconfiguration mentale des enfants et adolescents concernant les valeurs familiales et sexuelles.
Dans tout le pays, des églises évangéliques et catholiques, ont distribué des copies de cette notification aux fidèles. Le procureur a expliqué que la présence d’un avocat n’est pas requise pour l’ensemble de cette procédure.
Suite à ses conseils, des parents ont traîné l'école de leur fille au tribunal. Leur fille a été grandement perturbée après avoir reçu un cours d'éducation sexuelle inapproprié pour son âge. Le tribunal a condamné l'école à leur verser l'équivalent de 10 000€.
Guilherme Schelb - https://deolhonolivrodidatico.blogspot.com/2016/02/familia-podera-processar-escola-e.html
En 2014 déjà, en Allemagne, des parents ont été condamnés à de la prison pour avoir refusé qu'une de leurs filles suive un cours d’éducation sexuelle en primaire. Ils avaient ensuite quitté l'Allemagne en 2017.
En Norvège, des enfants sont retirés de force et confiés à des foyers/refuges ou à des familles d'accueil, par le Barnevernet, le très puissant service de protection à l'enfance de Norvège.
Au nom de la protection de l'enfance, le Barnevernet sépare environ 10 000 enfants par an des familles (pour un pays de 5 millions d'habitants), sans préavis, ni ordonnance du tribunal. Cela concerne également les enfants de familles étrangères vivant en Norvège. Les décisions sont uniquement basées sur leur propre enquête. Les raisons alléguées du retrait des enfants aux familles, vont du déséquilibre mental des parents à l'éducation religieuse des enfants.