Canada : Le Gouvernement prépare ses citoyens à la nouvelle pandémie

"Les gens vont-ils vraiment se laisser berner encore une fois ? Je le crains, car la plupart des gens ne veulent pas voir ce qui se passe réellement. A cause de cela, un état de peur et le contrôle qui en résulte reviendront à grande échelle… profitez des libertés relatives dont nous disposons actuellement en 2024, tant qu’elles durent."

Le gouvernement canadien avertit le pays de se préparer à un nouveau virus bien pire que le COVID

Le gouvernement canadien a émis des conseils incitant les citoyens à se préparer à un hypothétique nouveau virus qui pourrait entraîner des perturbations dans l'approvisionnement alimentaire et le carburant.

Le Centre de santé et de sécurité au travail indique que "sur la base des tendances de la grippe pandémique passée, il pourrait y avoir un nombre moyen plus élevé de maladies et de décès dans des groupes d'âge différents de ce que nous observons habituellement au cours des saisons grippales annuelles".

Le guide avertit également les employeurs qu’ils doivent se préparer à un scénario qui obligerait les individus à rester chez eux.

"Les estimations varient car personne ne saura avec certitude à quel point le nouveau virus rendra les gens malades, à quelle vitesse il se propagera ou combien de personnes n'iront pas travailler, jusqu'à ce qu'il se produise."

Une future pandémie "surviendra en deux ou trois vagues, environ trois à neuf mois séparant chaque épidémie", ajoute-t-il.

Le virus hypothétique pourrait également durer jusqu’à deux ans dans ces cycles, prévient le rapport.

Il ajoute que les gens devraient se préparer à des perturbations telles que la réduction de la main d’œuvre, les problèmes de chaîne d’approvisionnement et l’évolution de la demande des consommateurs. 

Parmi ces perturbations figurent les télécommunications, les services bancaires, l’eau, l’essence, les médicaments et la nourriture.

"C'était le début et la fin de notre liberté. Ils ont utilisé le vaccin pour nous contrôler et surveiller à quoi nous dépensons notre argent.

Alors qu’ils voyageaient dans des avions privés, nous avons voyagé dans des avions publics en payant des tests coûteux pour pouvoir voyager".