Sous prétexte d'art, on fait venir des démons et tout le monde ne le voit pas, l'Antéchrist est vraiment à la porte et ses prophètes aplanissent ses sentiers.
Et ce jugement c'est que,
la lumière étant venue dans le monde,
les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière,
parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Jean 3:19.
L'Evangile de Jean fait le constat que les ténèbres gagnent du terrain parce que les hommes préfèrent Satan à Dieu par leur comportement.
C'est la raison pour laquelle le Prince du monde finira bien par arriver, il viendra en terrain déjà conquis. Tout ce que nous voyons actuellement dans le monde, la culture, la politique, l'industrie du divertissement, l'économie et l'évolution des moeurs, convergent vers ce but : appeler les démons et le prince du monde. A chaque fois que les hommes les manifestent, ils font un pas de pas de plus vers nous. Lorsque le rituel n'est plus caché et qu'il se pratique aux yeux de tous à l'échelle d'une ville ou d'un pays, c'est que le terrain est déjà pris par l'Ennemi.
Plusieurs villes du monde sont redevenues Sodome, plusieurs villes du monde sont redevenues l'ancienne Ninive, plusieurs villes du monde sont redevenues Gomorrhe et le monde entier est déjà redevenu Babylone.
Leo Zagami. https://www.chretiens2000.com/2023/09/leo-zagami-revele-les-plans-pour-les-prochains-confinements-et-la-prise-de-controle-du-monde-par-l-intelligence-artificielle-extraits-traduits-et-video-en-anglais-1h12min.html
Un opéra urbain intitulé "La porte des ténèbres" mettait en scène de gigantesques machines circulant dans les rues de Toulouse.
Rempli de symboles sataniques, l'événement avait de profondes connotations rituelles qui ont poussé les leaders religieux de la ville à protester. Voici un aperçu de cet événement bizarre.
En juillet dernier, Paris a accueilli la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques, qui était la célébration du mal pur et simple. Quelques mois plus tard, une autre ville française a décidé d’accueillir un événement massif qui a transformé ses rues en temple satanique en plein air.
Intitulé "La Porte des Ténèbre", le festival présentait des machines massives se déplaçant dans la ville et interagissant les unes avec les autres. Bien que l’idée semble sympathique, les machines représentent des démons et toute l’histoire est entièrement satanique.
Le prologue de cet « opéra urbain » met en lumière les nuances rituelles de son histoire.
"Chassé du Jardin des Hespérides, Lilith, la femme scorpion, a trouvé refuge dans les profondeurs de la Terre. Libérée par Hadès, roi des enfers, elle erre de ville en ville à la recherche d'âmes damnées pour accroître ses adeptes et son pouvoir. (…) En assemblant des signes prodigieux, elle tente d’ouvrir un passage vers l’au-delà."
Cette affiche faisant la promotion de cet opéra urbain est en soi, hautement symbolique.
https://vigilantcitizen.com/latestnews/an-urban-opera-in-toulouse-using-massive-machines-is-denounced-as-a-satanic-ritual/
Cette affiche mérite qu'on s'y arrête car elle résume bien le véritable sens de cette fête. En haut à gauche, la cathédrale de Toulouse et le reste de la ville brûlent. En dessous, une bête rouge à cornes qui rappelle beaucoup Baal fait référence au sacrifice humain pour plaire aux forces obscures.
En bas à droite, une figure angélique se dresse au-dessus de squelettes ambulants. Il représente très probablement Lucifer, également connu sous le nom d'Ange Déchu.
Au centre de l’affiche se trouve le personnage principal de l’opéra, Lilith. Ce nom n’est pas dû au hasard : Lilith est la "démone" primordiale citée dans la mythologie de multiples civilisations.
Lilith, figure démoniaque féminine du folklore juif.
On pense que son nom et sa personnalité dérivent de la classe de démons mésopotamiens appelés lilû (féminin : lilītu), et le nom est généralement traduit par "monstre de la nuit". Un culte associé à Lilith a survécu parmi certains Juifs jusqu'au 7ème siècle de notre ère. Le mal qu'elle menaçait, notamment contre les enfants et les femmes en couches, était censé être contrecarré par le port d'une amulette portant les noms de certains anges.
– Encyclopédie Britannica
Sous Lilith se trouve un personnage nommé Astérion le Minotaure. Le labyrinthe derrière le personnage est une référence directe aux mystères occultes crétois.
Les labyrinthes symbolisaient les implications et les illusions du monde inférieur à travers lequel erre l'âme de l'homme dans sa recherche de la vérité.
Dans le labyrinthe habite l'homme animal inférieur à tête de taureau, qui cherche à détruire l'âme empêtrée dans le labyrinthe de l'ignorance du monde. (…) Le célèbre labyrinthe de Crète, dans lequel errait le Minotaure à tête de taureau, était incontestablement un lieu d'initiation aux Mystères crétois.
– Manly P. Hall, Les enseignements secrets de tous les âges
Le Minotaure est également connu pour manger de la chair humaine, un fait qui joue bien avec l’obsession de l’élite occulte pour le cannibalisme.
Même si l’événement a été présenté comme un "opéra urbain", le symbolisme qui y est omniprésent est tout sauf fictif. Il est utilisé dans de véritables rituels occultes, transformant cet événement en un méga-rituel.
Alors que les organisateurs de l’événement nient qu’il soit satanique (la première règle des satanistes est de nier qu’ils sont satanistes), la symbolique dit le contraire.
Par exemple, les boucles d’oreilles de Lilith sont des croix inversées, le principal symbole du satanisme en tant que corruption du christianisme.
Sur son ventre se trouve une autre croix inversée claire alors que d'autres symboles occultes ornent son corps.
https://www.lejournaltoulousain.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/la-machine-lilith-reste-a-toulouse-jusquau-11-novembre-288949/
Le Minotaure patrouille également dans les rues de Toulouse en crachant des nuages de fumée sur les passants.
Cet événement a coûté 4,7 millions d'euros aux contribuables. En d’autres termes, l'administration locale organisait un rituel célébrant le Mal. Bien sûr, certaines personnes ont protesté contre cet événement financé par des fonds publics et qui s’en prenait directement au christianisme.
L'archevêque de Toulouse, Guy de Kerimel, a trouvé l'événement si spirituellement perturbant qu'il a consacré la ville et le diocèse au Sacré-Cœur de Jésus le 16 octobre, pour les protéger des "sombres menace". Il a déclaré :
"Des nuages sombres s’amoncellent sur notre monde. L’obscurité et la tristesse deviennent une tendance partout et s’enracinent même de manière pernicieuse dans notre vie quotidienne : dans nos lectures, nos arts et notre musique, au point de devenir normal".
Dans une autre interview, l'archevêque a déclaré à propos de l'événement :
"Certaines personnes aiment regarder des films d’horreur, mais il faut payer pour les voir. Si nous n’avons pas envie de regarder tout cela, nous devrons nous enfermer chez nous pendant trois jours. La taille des structures rend difficile d’échapper à ce triste spectacle".
L'événement a également suscité la colère de la communauté protestante de Toulouse. Les représentants de la Fédération protestante de France ont déclaré :
"Nous aimons Toulouse pour son Histoire, sa culture et son dynamisme. (…) Toulouse c'est la vie, la joie et la beauté ! Mais les représentants de l’Église sont choqués et alarmés par le choix du thème de cet acte qui présente Toulouse comme la porte des ténèbres."