Comme tous les articles du tag "Coeur noir de l'homme", ne lisez pas si vous êtes sensible...

« Parmi ces horreurs que je vous décris là, qui sembleraient être beaucoup plus formelles et répandues qu’on ne peut l’imaginer, pas seulement les nuits de pleine lune, qui se passeraient dans des châteaux, dans des villas, je vous parle de la France là…(…)

Il y’en a partout, en France, en Belgique, mais moi pour le moment je travaille en France, j’enquête un peu sur ce qui se passe en France, c’est très intéressant. Il faut savoir, pour revenir sur le projet Mk-Ultra, ce projet fabrique d’un côté, l’élite de demain. Ça on a bien compris.

Pour ça donc, les enfants sont emmenés, par les prédateurs, dans ces soirées pour se faire malaxer le cerveau et avoir une double personnalité [NDLR possession ???] et participer aux horreurs dès le plus jeune âge. Ils se font remettre le poignard du Grand-Maître à l’âge de 5 ans, tu imagines ce que ça fera lorsqu’ils auront une trentaine ?!

Eh bien ça sous-entend que d’un autre côté on va emmener de la chair fraîche…pour ces enfants-là, d’accord ?!

Cette chair fraîche comme on retrouve dans l’affaire des témoignages de l’affaire Dutroux, des témoins, viennent de viols sous X. De malheureux enfants qui ont été enfantés par le viol, on récupère les enfants, quand je dis « on » ce sont les réseaux protégés par l’imposture politico-judiciaire, notamment l’Aide à L’enfance.

Les réseaux récupèrent donc ces malheureux enfants qui sont stockés dans des caves, dans des châteaux, dans des villas, en France !

Et ces enfants, au besoin, lorsque c’est le solstice d’été ou le solstice d’hiver, ou la pleine lune, ou la non lune, bref, il y a quantités de dates... ces enfants donc servent de proies, ils sont là pour être violés collectivement, dépecés, égorgés, par les réseaux, par les prédateurs et par les enfants qui doivent devenir des leaders de demain.

C’est là-dessus que je voulais parler. Ces fameuses cages qui existent bien en France, pour moi c’était le summum de l’abomination que j’ai découvert ».

"A l'orphelinat, on se faisait tripoter par les juges pour enfants !" Hervé Vilard vendredi 31 décembre 2010 à 15:22

Hervé Vilard, auteur, compositeur et interprète français, était l'invité des Grandes Gueules ce midi pour la sortie de son dernier album « Le dernier Romantique » (AZ/Universal)

- Quand avez-vous entendu parler de toutes ces histoires de pédophilie dans l’église avec les prêtres vous aviez 11 ans, qu’est-ce que vous en avez pensé ?

- J’ai honte

- Jamais ça ne vous est arrivé ça ?

- Si. Mais ça ne m’est pas arrivé avec des curés, ça m’est arrivé en orphelinat. Nous avions des attouchements. Même nos juges, puisque vous voulez me faire parler. Même nos juges, les juges pour enfants, dans les années 1950, faisaient des attouchements sur des enfants dans les orphelinats. L’orphelinat Saint Vincent de Paul ... ça…c’est connu. Il y’a des grands politiques qui ont des « dossiers ».

- Ah bon ?

- Oui c’est pour ça qu’ils ont fait une belle carrière.

- Non vous rigolez ?

- Ben... vous connaissez des politiques qui n’ont pas de « dossiers » ?!

- Sur les attouchements, c’est ce qu’on appelait les « ballets roses » à l’époque …

- Mais oui, mais ça a toujours existé …

- Vous-mêmes, vous en avez été victime de la part de juges ou de…

- Victime !!!

- Victime oui quand même

- Oui...quand on faisait tomber son crayon, il ouvrait sa braguette, …on se racontait ça entre nous…et puis voilà…

- Vous avez fait des fellations à des adultes ou des choses comme ça ?

- Non, non, je ne suis pas allé jusques là mais, on se laissait un peu tripoter. Oui parce qu’on avait droit à des bonbons. Enfin, c’est une image…c’est un peu ça oui, oui. Ça c’est le monde hein, qui va, hein, hein…vous savez…

- ça ne vous a pas trop traumatisé ?

- Ben si, c’est pour ça quand on m’en parle aujourd’hui, je trouve ça … ça me fait frémir même, et ça existe encore aujourd’hui…mais les orphelinats, c’est sordide hein. On croit que tout a évolué tout ça… mais c’est sordide hein. Ces histoires d’abandon, d’adoption,

- Ce qui est terrible à votre époque, c’est qu’il y avait des gens qui abusaient de leur autorité

- Mais ça, le fait de disposer de la vie d’un enfant, alors que ce n’est pas le vôtre, je trouve ça très sincèrement épouvantable.

- Vous œuvrez ? vous militez contre ça aujourd’hui encore ? parce que vous êtes assez discret

- Je ne suis pas un militant, s’il faut ouvrir ma gueule, je l’ouvre mais, je ne suis pas quelqu’un qui va…je ne suis pas armé pour ça. Mais suffisamment bien entouré.

- Quand vous évoquiez certains responsables politiques (…) ça veut dire que vous avez vu des..., vous saviez que certains responsables, haut placés, étaient des tripoteurs et ensuite ont fait des carrières ?

- Bien entendu, bien entendu, bien entendu

- Je n’ose pas vous demander des noms mais…

- Ah ben non, ça je ne vais pas le faire

- Mais ils sont devenus des personnalités haut placées ?

- Mais le monde politique, le monde de la justice français en est plein ! quand on possède le pouvoir, vous savez une fois qu’on l’a en mains, il y a des gens qui ne savent plus quoi en faire de leur pouvoir. Donc ils dérivent. C’était valable dans les années 1950, et aujourd’hui, il y a dans certains orphelinats de France, et dans certaines pensions, (…)

La partouze d'un ancien ministre avec des petits garçons marocains.