Toutes religions confondues, une part de la population est persuadée que nous sommes précisément à l'époque des "guerres et bruits de guerres".
Des jeunes travailleurs ont commencé à faire des stocks et des réserves en tous genres en vue de l'année 2024, qui selon leur entendement, sera catastrophique.
Selon une récente enquête du Pew Research Center, au moins 40 % des Américains le pensent.
"Cette partie importante de la population est convaincue que notre génération est caractérisée par des signes apocalyptiques, soulevant des questions sur les facteurs qui influencent ces croyances et leur prévalence parmi les différents groupes religieux", a noté Charisma News sur son site Internet. "Étonnamment, les résultats ont révélé que ces gens ne se soucient pas des problèmes climatiques (…)"
Selon le New York Post, la "préparation" à la fin du monde s’infiltre dans le courant dominant alors que les Américains de tous âges et de toutes convictions politiques s’inquiètent de plus en plus, notamment à l’approche de l’élection présidentielle de 2024, de la perspective d’une guerre civile.
Le malaise général est non seulement dû à la politique, mais aussi aux catastrophes naturelles (ouragans) et aux nouvelles maladies. Ils sont de plus en plus nombreux à vouloir s'organiser, pour se préparer à une catastrophe cataclysmique.
Le New York Post reporte également d'autres inquiétudes liées à l'année 2024 :
"Une impulsion électromagnétique qui mettrait hors service le réseau électrique pourrait se produire. Une guerre nucléaire pourrait survenir. Une guerre civile pourrait éclater. Mais une tempête va éclater."
En Europe, la préparation est la même si on en croit l'accroissement des demandes d'abris et autres bunkers souterrains depuis 2022.
Les plus fortunés ont acheté ou construit des bunkers, depuis 2020, c'est un marché en plein essor. Ils ont préparé des plans d'évacuation en cas de risque nucléaire ou de guerre mondiale.