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2,5 pages

 

 

Mykelti Williamson, est un acteur devenu célèbre grâce au film "Forrest Gump". Un jour, il a reçu un appel de son ami d'enfance, cet appel contenait un message terrifiant.​​​​​​

Témoignage : Activités paranormales chez les célébrités

Ce n'est pas une histoire que je raconte très souvent. Je ne veux pas passer pour un menteur, ou un détraqué. Cette histoire est réelle, ce sont des événements que j'ai vraiment vécus.

 

Cela s'est produite dans les débuts des années 1980, à Los Angeles, en Californie. J'étais un jeune acteur qui essayait de percer et de bien démarrer sa carrière.

Ceux qui me connaissaient bien, savaient que je passais régulièrement chez ma mère environ deux fois par semaine, pour prendre de ses nouvelles. Un jour, je lui ai téléphoné, mais elle n'a pas répondu. Je me suis rendu chez elle, elle est venue à ma rencontre devant sa maison, elle m'a ordonné de retourner dans ma voiture et de rentrer chez moi.

C'était vraiment bizarre !

J'ai quand même demandé si elle allait bien, elle m'a dit oui, et elle m'a encore demandé de retourner dans ma voiture. Elle m'a dit qu'on se verra plus tard, en me demandant de rappeler quand je serai chez moi.

 

Je l'ai appelée une fois chez moi, elle m'a dit que tout allait bien. Quelques jours plus tard, je me suis à nouveau arrêté devant chez elle. Elle a surgi de sa maison comme une automate et m'a lancé : Remonte dans ta voiture !

Je lui ai dit :

- Mais maman que se passe-t-il ? Est-ce que tu es en danger ? Est-ce quelqu'un te harcèle ?

Elle a repris :

- Monte dans la voiture ! Ne t'arrête pas, rentre !

Je lui ai demandé s'il y avait quelqu'un à l'intérieur de chez elle, elle m'a dit non. J'avais le regard insistant, mais elle m'a dit :

- Non, rentre chez toi !

J'ai répondu :

- Très bien maman, d'accord !

 

J'ai pris ma voiture et je suis rentré. La seconde fois, j'étais très tenté de passer outre ses demandes, je voulais forcer le passage pour entrer dans la maison et m'assurer que tout allait bien. Mais, il m'est impossible de manquer de respect à la mère. Puis, ma mère n'a rien d'une petite femme fragile, c'est une femme très forte. Ce n'est pas une femme qui se laisse impressionner.

J'ai laissé passer deux jours, puis mon téléphone a sonné, c'était ma mère, elle me demandait de venir la voir. Elle insistait : Quand peux-tu venir ? J'ai dit : Tout de suite !

 

J'habitais à Santa Monica, je devais me rendre près de Los Angeles. J'étais nerveux, j'avais des papillons dans l'estomac. Je me demandais ce qui se passait avec ma mère, je m'attendais à une très mauvaise nouvelle.

Je suis arrivé chez elle, et cette fois elle me laisse entrer. Il se passait vraiment quelque chose. Il y avait dans l'air une lourdeur à couper au couteau. Je devais faire des efforts pour maîtriser mes tremblements, j'avais les nerfs en bouillie.

 

Au cours de mon enfance, je me suis fait des amis dans le quartier. L'un d'eux s'appelait Adrian et il avait été mon meilleur copain. Adrian avait un don étonnant pour faire des bêtises. Je lui avais pardonné tout un tas de stupidités qu'il avait commises. C'était bien souvent des méfaits qui n'avaient ni queue ni tête. C'était le genre de gars qui partait faire des mauvais coups. Il revenait avec une montre neuve, un collier ou autre chose. Il y avait une force en lui qui le poussait à vivre ainsi.

Quand on lui demandait pourquoi il agissait de la sorte, il n'en savait rien. Il était mon aîné de quelques années mais j'arrivais quand même à lui parler en essayant de le convaincre de modifier son comportement. Je savais déjà à cette époque, qu'on finit toujours un jour par payer ce qu'on fait, je comprenais ce principe spirituel qui implique les causes et les conséquences.

 

Alors, quand j'étais chez ma mère, nous nous sommes assis, elle avait quelque chose à me dire. Elle m'a annoncé qu'Adrian avait été tué la nuit dernière. Son cousin l'avait abattu d'un coup de pistolet au beau milieu de la rue. J'étais bouleversé.

Elle a ajouté que quelques jours avant, Adrian s'était rendu chez elle, il me cherchait. Ma mère a dit qu'elle a vu la mort sur lui. Elle a vu l'ombre de la mort sur Adrian. Ma grand-mère pouvait voir les esprits. Ma mère et elle pouvaient voir la mort sur les gens avant que la mort ne s'empare de leurs âmes.  

Ma mère ne voulait pas que nos chemins se croisent, parce qu'elle a vu un esprit de mort si puissant sur Adrian, qu'il lui était impossible d'intervenir et de renverser les choses. C'était l'heure d'Adrian, l'heure du bilan était venue et Adrian allait mourir dans peu de temps.

Ma mère voulait que je reste loin de sa maison car l'esprit de mort était si puissant, qu'il pouvait emporter d'autres personnes de manière collatérale, au moment de l'heure d'Adrian.

J'ai dit à ma mère que j'aurais peut-être pu faire quelque chose si elle m'en avait parlé, mais elle a été catégorique : Non, tu ne pouvais rien faire pour lui, l'esprit de mort sur Adrian était trop fort, son temps était venu.

 

Je suis rentré chez moi à Santa Monica, j'étais profondément troublé par la mort de mon ami et tout ce récit. Je suis resté songeur très longtemps. Je refusais l'évidence. Je ne cessais de me demander comment les choses auraient pu se passer si j'avais pu le voir avant que la mort le saisisse. J'ai appelé ma copine pour qu'elle me soutienne, je lui ai demandé de venir me rejoindre. Nous étions à table, nous allions commencer à manger quand le téléphone a sonné.

Ma copine est allée répondre. Une fois qu'elle a répondu, elle est subitement devenue très pâle.

Je lui ai demandé ce qui n'allait pas, elle m'a dit que c'était un appel de Adrian en PCV, il me réclamait.

 

(Un appel en PCV est un appel téléphonique dans lequel l'appelant souhaite passer un appel aux frais de l'appelé. Le correspondant peut accepter ou refuser la communication. Dans le passé, les appels en PCV étaient relayés par un opérateur. Wikipédia)

 

Je savais que quelque chose n'allait pas, Adrian était mort la veille ! Cela n'avait aucun sens, je me suis dit que c'était un ami qui me jouait une très mauvaise blague. Le moment était mal choisi car j'étais profondément bouleversé. J'ai pris le téléphone et j'ai répondu.

La voix que j'ai entendue à l'autre bout, était celle que je connaissais depuis ma plus tendre enfance, c'était mon ami Adrian !

Il criait :

- Mike ! Mike !

Il n y avait que trois ou quatre personnes qui m'appelaient Mike. J'ai tout de suite reconnu sa voix. Il m'a dit :

- Aide-moi ! Aide-moi ! Tu sais comment m'aider !

Je lui ai demandé :

- Mais où es-tu Adrian ?!

- Ils essayent de m'emmener à l'intérieur ! Aide-moi, tu dois m'aider maintenant avant qu'ils reviennent !

 

Adrian était totalement désespéré, il criait, mais j'ai aussi entendu un bruit derrière lui, ça me rappelait le bruit d'un feu qui brûle, qui crépite, comme un barbecue quand la chaleur intense fend l'air ambiant. C'est ce que j'ai entendu, au téléphone !

Puis le bruit s'est amplifié, j'ai entendu d'autres personnes crier et se chamailler, puis j'ai entendu comme s'il commençait à se bagarrer, à se défendre contre des gens qui le saisissaient, je l'ai entendu perdre la bataille, il continuait à crier au loin :

- Lâchez-moi ! Non, Non, Je n'y vais pas ! Non ! Je ne vais pas là, je ne veux pas y aller !

 

Il criait mon nom. La communication a été coupée, tous les bruits se sont dissipés, c'était fini.

 

Je suis resté muet un long moment. C'est frustrant d'être au téléphone avec quelqu'un qu'on ne peut aider. J'ai raconté les détails à ma copine qui était là tout au long. Elle m'a demandé d'appeler la téléphoniste et lui demander de retracer l'appel. J'ai essayé ça n'a rien donné. La téléphoniste m'a expliqué que le numéro apparaîtrait sur mon relevé puisque c'était un appel en PCV .

Lorsque j'ai reçu la facture en fin de mois, il n y avait AUCUNE TRACE de ce coup de téléphone. Ma copine était témoin, c'est elle qui m'avait repassé l'appel en PCV, sinon j'aurais cru avoir été victime d'hallucinations. Je ne me drogue pas et je bois très peu. J'ai reçu un coup de fil de l'au-delà !

On est entré en contact avec moi à travers le téléphone !

Adrian répétait que je savais comment l'aider. Je me demande encore ce qu'il voulait dire exactement. Je ne sais vraiment pas, comment j'aurais pu l'aider. Je ne sais pas et je le regrette. Cet appel était une sorte de message, j'ai compris que l'enfer existe vraiment. Tous nos gestes ont des conséquences. Si j'étais avec lui quand la mort est venue, elle m'aurait peut-être emporté aussi.

Je suis convaincu que le monde des esprits existe, qu'il ne faut pas le craindre, assurez-vous de marcher dans la lumière, c'est votre unique moyen de protection.

 

 

Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 1 Jean 1:7.

 

 

Tag(s) : #TEMOIGNAGES

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