Elle a du prix aux yeux de l'Éternel, La mort de ceux qui l'aiment. Psaumes 116:15. Maintenant qu'il est mort … J'irai vers lui, mais il ne reviendra pas vers moi. 2 Samuel 12:23. … L'Éternel a donné, et l'Éternel a ôté; que le nom de l'Éternel soit béni ! Job 1:21. LSG
VEILLE VOICI JE VIENS (Anonyme, chanté par Francis Lirola)
Peut-être reviendrai-je au soir de la journée A l’heure où tu t’assieds, la tâche terminée, Priant et méditant au seuil de ta maison Tandis que le soleil empourpre l’horizon Et que, des écoliers, la cohue indocile Remplit de sa gaîté le village tranquille … Peut-être qu’à leurs cris se mêlera le mien, C’est pourquoi je te dis : « veille, voici je viens » !
Peut-être reviendrai-je à la première étoile Lorsque tout, par degrés, s’enveloppe d’un voile, Ou peut-être à minuit, quand la mer aux flots lourds Vient mourir sur la grève avec un grand bruit sourd ; Quand la terre froidit, quand la lampe est éteinte Et que l’on n’entend plus que l’horloge qui tinte… Va, repose sans crainte ô toi qui m’appartiens : Je n’en oublierai point de tous ceux qui sont miens C’est pourquoi je te dis : « veille, voici je viens ».
A l’heure où, pour fêter le lever de l’aurore, Le coq jette aux échos sa fanfare sonore ; Quand, sur chaque brin d’herbe, on voit un diamant, Quand la vague, au soleil, étincelle gaîment, Quand l’alouette vole au chant de la lumière Et qu’avant d’aborder leur tâche coutumière Les voisins, à la porte, en de longs entretiens S’attardent, garde-toi d’oublier que je viens… C’est pourquoi je te dis ; « veille, voici je viens » !
Depuis que j’ai compris ces paroles du Maître, Je l’attends dès que l’aube éclaire ma fenêtre, Je me lève et je dis « peut-être est-ce aujourd’hui Que j’entendrai Sa voix et que j’irai vers Lui » J’entends sonner un pas, j’entrevois sur la route Une ombre ; je regarde ; vers la porte j’écoute Et l’espérance vient me redire tout bas : Quelques ombres encore et puis tu le verras !
C’est pourquoi je te dis : « veille, voici, je viens » !
VEILLE VOICI JE VIENS (Anonyme, chanté par Francis Lirola)
Peut-être reviendrai-je au soir de la journée
A l’heure où tu t’assieds, la tâche terminée,
Priant et méditant au seuil de ta maison
Tandis que le soleil empourpre l’horizon
Et que, des écoliers, la cohue indocile
Remplit de sa gaîté le village tranquille …
Peut-être qu’à leurs cris se mêlera le mien,
C’est pourquoi je te dis : « veille, voici je viens » !
Peut-être reviendrai-je à la première étoile
Lorsque tout, par degrés, s’enveloppe d’un voile,
Ou peut-être à minuit, quand la mer aux flots lourds
Vient mourir sur la grève avec un grand bruit sourd ;
Quand la terre froidit, quand la lampe est éteinte
Et que l’on n’entend plus que l’horloge qui tinte…
Va, repose sans crainte ô toi qui m’appartiens :
Je n’en oublierai point de tous ceux qui sont miens
C’est pourquoi je te dis : « veille, voici je viens ».
A l’heure où, pour fêter le lever de l’aurore,
Le coq jette aux échos sa fanfare sonore ;
Quand, sur chaque brin d’herbe, on voit un diamant,
Quand la vague, au soleil, étincelle gaîment,
Quand l’alouette vole au chant de la lumière
Et qu’avant d’aborder leur tâche coutumière
Les voisins, à la porte, en de longs entretiens
S’attardent, garde-toi d’oublier que je viens…
C’est pourquoi je te dis ; « veille, voici je viens » !
Depuis que j’ai compris ces paroles du Maître,
Je l’attends dès que l’aube éclaire ma fenêtre,
Je me lève et je dis « peut-être est-ce aujourd’hui
Que j’entendrai Sa voix et que j’irai vers Lui »
J’entends sonner un pas, j’entrevois sur la route
Une ombre ; je regarde ; vers la porte j’écoute
Et l’espérance vient me redire tout bas :
Quelques ombres encore et puis tu le verras !
C’est pourquoi je te dis : « veille, voici, je viens » !