"Mon Dieu, qu'ai-je fait ?!", dit un homme qui a retiré ses organes génitaux parce qu'il croyait qu'il était trans

Un homme qui prétend avoir été contraint de subir une intervention chirurgicale pour retirer ses organes génitaux, souffre maintenant des dommages irréparables de la procédure pour le rendre entièrement transgenre et poursuit la clinique où il a demandé de l'aide pour une dysphorie de genre.

L'affaire a été révélée dans une interview où il a lui-même déclaré que la vaginoplastie qu'il a subie sous la direction de la clinique de genre du service de santé publique est la « plus grosse erreur de sa vie ».

Ritchie Herron, un Britannique qui a demandé l'aide du service de santé publique anglais, le NHS, a déclaré dans une interview qu'il souffrait de complications physiologiques douloureuses, notamment des engourdissements, de l'incontinence et de l'infertilité.

Son cas déchirant a été rendu public début juin lorsqu’il a partagé son histoire sur Twitter sous le pseudonyme de TullipR. Il a partagé la myriade de défis auxquels il est maintenant confronté dans sa vie quotidienne après une opération de castration.

Le Christian Post a interviewé Herron par e-mail, et a recueilli sa déclaration de regret, malgré la « vague de soutien et d'empathie, beaucoup de compassion » reçue après sa publication sur Twitter, « je me préparais à être jugé durement par la foule, et pourtant cela ne s'est pas produit. J'ai été reçu avec bienveillance, soutien et empathie. De nombreuses personnes aimables m'ont souhaité bonne chance et [ont dit qu'elles] priaient pour moi, ce qui était touchant et en même temps humiliant », a-t-il déclaré.

Dans son témoignage sur Twitter, Herron a déclaré qu'il lui fallait maintenant 10 minutes pour uriner, que son aine était complètement engourdie et que l'opération n'avait pas atténué sa souffrance mentale comme il avait été amené à le croire. Herron a déclaré au Daily Mail qu'il pensait subir une intervention chirurgicale permanente et que les médecins du NHS n'avaient pas pris en compte l'aggravation de sa santé mentale.

Auparavant, Richie se faisait appeler "Abby" en s'identifiant comme transgenre, mais il avait refusé à plusieurs reprises les suggestions selon lesquelles il devrait subir une chirurgie et il avait fait part de ses préoccupations au personnel de la clinique.

Après des années de rejet de la chirurgie de mutilation génitale, appelée vaginoplastie par le NHS, il a subi la pression du personnel de la clinique. En 2015 et 2017, il avait refusé le « changement de sexe », puis il a été informé qu'il serait dispensé du suivi clinique pour avoir refusé la procédure.

Cela l'a amené à croire qu'il n'aurait plus l'accompagnement thérapeutique, qui était quelque chose de précieux pour lui. En mai 2018, il a finalement subi l'opération qui impliquait l'ablation de ses testicules et de son pénis. Le chirurgien a ensuite prélevé le tissu et la peau restants pour créer chirurgicalement les organes génitaux féminins.

Herron a déclaré qu'à l'époque, la pensée suivante lui était venue : « Je suis ici maintenant, il n'y a aucun moyen de m'arrêter, même si je le voulais. » Après l'opération, Herron a ressenti de profonds regrets, sa première pensée après s'être réveillé des sédatifs étant « Oh mon Dieu, qu'ai-je fait ? ».

Richie a pris un avocat pour poursuivre le NHS.

I want to tell everyone what they took from us, what irreversible really means, and what that reality looks like for us.

No one told me any of what I’m going to tell you now.

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— TullipR/Ritchie 🦎🌈♂ (@TullipR) June 13, 2022

Avec des informations de :

ThechristianPost

Gospel+