Changaimina garde un secret non encore élucidé par les scientifiques du monde, il s'agit de plusieurs découvertes d’ossements d'une ancienne race d'hommes surpassant en taille, la moyenne de l’être humain actuel, pouvant atteindre jusqu’à 7m de hauteur.

L'histoire des ancêtres est basée sur des faits documentés, des mythes et même quelques mensonges. Pourtant lorsqu'on retrouve des ossements géants qui ont une forme humaine, cela intrigue un peu. En Équateur, certains archéologues et habitants d'une petite ville appelée Changaimina disent que des ossements humains géants ont été récupérés.

L'une des personnes qui auraient conservé ces ossements était le prêtre Carlos Miguel Vaca Alvarado, né en 1912, dans la ville équatorienne de Loja. Les ossements, qui étaient en sa possession jusqu'à sa mort en 1999, ont été retrouvés dans la petite ville de Changaimina, située à 755 kilomètres de Quito.

Changaimina dérive de deux voix Kichwa : « changa » qui désigne la « jambe », en particulier le fémur ou les ossements humains en général, et « mina » qui signifie dépôt. Fait intéressant, un dépôt osseux peut également être un cimetière ou un lieu où reposent les ossements des défunts.

En 1965, le Père Vaca est assisté d'un groupe de 25 personnes qui explorent et fouillent le sol où gisait le corps d'un géant. Ils ont trouvé les restes de sa tête, puis le tronc et enfin les membres. La découverte a coïncidé avec le nom millénaire de la petite ville : Changaimina, où l'on dit qu’une cité-cimetière des dieux aurait pu exister.

Le curé passionné d'archéologie et des légendes racontées par les habitants de la région, a fini par découvrir ces vestiges.

La collection de Vaca contenait les ossements de géants de sept mètres de haut qui habitaient l'Équateur et d'autres parties de l'Amérique il y a des milliers d'années. Selon des articles de journaux, certains des fragments d'os ont été envoyés à la Smithsonian Institution à Washington DC pour une analyse plus approfondie.

Les fragments de géants trouvés en Équateur dans les années 60 sont aujourd'hui visibles dans le parc de la Jungfrau en Suisse. D'autres ossements de cette collection sont exposés dans le musée privé de l'enquêteur paranormal d'origine autrichienne Klaus Dona.

Dans la mythologie, l'existence de géants est une constante, par exemple, dans les annales bibliques, il y a le Philistin Goliath, qui mesurait près de 3 mètres de haut. Ou la race Nephilim des dieux déchus et des fils des dieux.

Selon la version d'Helena (mythologie), il y a 12 Titans, dirigés par Chronos, qui ont combattu son père Uranus à la demande de sa mère Gaïa. Vous pouvez également lire l'épopée sumérienne du roi Gilgamesh, haut de 7 mètres, qui mentionne déjà le déluge universel.

En Amérique du Sud, la plus célèbre de toutes les histoires vernaculaires enregistrées dans les témoignages écrits concerne peut-être les Patagoniens. Ces créatures ont été enregistrées dans les journaux de bord du marin portugais Fernando de Magellan dans sa recherche d'un passage entre l'Atlantique et le Pacifique, le détroit qu'il a découvert et qui porte son nom.

« Nous avons vu un homme près de la plage qui était si grand que notre tête atteignait à peine le niveau de sa ceinture », écrit Antonio Pigafetta, un marin fidèle à Magellan. Ils les appelaient « Patagones » à cause de la taille excessive de leurs pieds. De là dérive le mot Patagonie qui donne son nom à la région argentine.

Le célèbre corsaire et marchand d'esclaves britannique Sir Francis Drake a personnellement rencontré le géant de Patagonie attestant du témoignage du navigateur portugais :

« Magellan n'a pas du tout menti en les nommant géants, en général, ils diffèrent de l'homme ordinaire, à la fois par la stature, la grandeur et la force du corps, comme par la laideur de leurs voix …»

L'explorateur néerlandais Jacob Le Maine a traversé l'Amérique du Sud en 1615 et a laissé une carte de la région de Puerto Deseado en Patagonie argentine. Dans les explications cartographiques, un détail étrange ressort : il décrit le point H comme l'endroit « où l'on a trouvé le lieu de sépulture d'un géant, dont les ossements mesuraient entre dix et onze pieds de long », soit plus de trois mètres.

Le jésuite espagnol, anthropologue et naturaliste José de Acosta, qui a débarqué pour la première fois sur l'île Española de l'archipel des Galapagos en 1571, pour commencer son voyage sur terre depuis le Pérou en 1572, a écrit dans son Histoire naturelle des Indes que les Chichimecas, l'original les peuples du Mexique étaient des géants « qui arrachaient les branches des arbres comme nous arrachons des laitues ».

De son côté, Juan de Velasco, jésuite équatorien, soulignait dans son Historia Antigua del Reyno de Quito en 1789 que « Manta était au début de l'ère chrétienne le théâtre de l'effroyable race des géants » et détaillait les tailles spectaculaires des squelettes. Les traces trouvées dans l'actuelle Manabí, la péninsule de Santa Elena et dans les territoires du Caranquis, d'Imbabura appartiennent aux mêmes géants référencés dans les textes bibliques.

Ces témoignages sont corroborés avec des découvertes identiques à travers le monde. Changaimina, la Cité Cimetière des Dieux reste cachée, malgré les témoignages d'explorateurs et d'archéologues.

Avec des informations de :

Cronica

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