Deux évènements niés par le Gouvernement américain : Le vol 1628 et Le géant de Kandahar

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(sans les illustrations)

Deux affaires dans lesquelles le Gouvernement américain aurait usé de conspiration pour falsifier les documents et nier les témoignages. Vérités ou légendes urbaines ?

1986 : L'expérience du Vol Paris - Tokyo/Narita

Le vol 1628 de la compagnie Japan Airlines Boeing 747, quitte Paris pour Narita International Airport, près de Tokyo, en transportant du Beaujolais (vin), avec un équipage de trois personnes : le capitaine Kenju Terauchi, le co-pilote Takanori Tamefuji, et un ingénieur de vol, Yoshio Tsukuda.

Le voyage avait commencé tranquillement, sans incident. Vers 17h l'avion se trouvait près de l'Islande, il se dirigeait vers Anchorage dans l'Alaska. C'est à ce moment que l'équipage a remarqué deux objets non identifiés à gauche de l'avion.

Ces objets émettaient des fortes lumières blanches et jaunes. Dans un premier temps, ils ont aperçu des objets rectangulaires, comme des lampes fluorescentes effectuant des manœuvres qui semblaient étranges pour ces personnes habituées de vols.

Ces objets effectuaient de grands déplacements en quelques secondes seulement. L'équipage ne comprenait pas ce comportement. Les objets volaient, puis s'arrêtaient, puis volaient à la même vitesse que l'avion, comme s'ils avaient décidé de suivre l'avion japonais.

A 17h18, le capitaine a contacté la tour de contrôle d'Anchorage.

Les agents ont confirmé que des objets volants apparaissaient bien sur les radars, ces objets se trouvaient à l'arrière de l'avion. Le centre de contrôle est entré en contact avec le centre régional des forces aériennes (FAA), pour s'assurer qu'il s'agissait d'un entraînement non déclaré ou d'un avion du Gouvernement. Le centre régional a infirmé qu'il s'agissait d'entraînement et ils ne connaissaient pas ces objets qu'ils pouvaient eux aussi détecter dans leurs radars.

Durant ces appels, l'équipage continuait d'observer ces objets qui montaient, descendaient, se réduisaient, redevenaient plus grands, émettaient des lumières, cessaient d'émettre des lumières, etc. A un moment donné, ces objets se sont approchés si près de l'avion que l'équipage a eu vraiment très peur.

Les objets volants se trouvaient maintenant devant l'avion et volaient en sens opposé vers l'arrière de l'avion en émettant une lumière si forte que la cabine était entièrement éclairée. Les trois hommes ont ressenti une forte chaleur. La lumière semblait chauffer tout ce qu'elle atteignait. Ils ont déclaré avoir eu la sensation que leurs visages brulaient, tant cette chaleur était forte.

A 17h23, les objets se sont éloignés et ont disparu à l'horizon.

Les hommes étaient soulagés de ne plus les voir, leur soulagement a été de courte durée puisque quelques minutes après, un gigantesque appareil est apparu. Un autre objet qu'ils n'avaient jamais vu.

Le pilote affirme qu'il était beaucoup plus grand que leur Boeing, il estime qu'il était de la taille de deux porte-avions.  C'était un objet rond, avec un anneau de lumière. Il se tenait à plus de 10 000m de hauteur, il n'avait aucune propulsion visible, il se déplaçait aussi facilement que les deux objets non identifiés précédents, comme si la gravité n'avait aucun effet sur eux.

Les agents d'Anchorage ont alors proposé l'appui de troupes militaires, mais le capitaine japonais a refusé car il avait peur de ce qui pouvait leur arriver si le grand objet se sentait menacé.

Craignant pour la sécurité de l'équipage, le centre de contrôle a autorisé le capitaine à effectuer une manœuvre évasive, il pouvait sortir de sa trajectoire de vol.

Le capitaine a réalisé la manœuvre, mais l'objet les poursuivait toujours pendant 40 minutes, temps durant lequel, l'objet a déclenché des lumières dans un ordre spécifique, comme un code de communication, avant de disparaître par la suite.

Pendant ce temps, le centre de contrôle d'Anchorage et le centre régional, enregistraient toutes les conversations avec l'équipage. Il a été confirmé que le ciel était dégagé, il y avait très peu de nuages, la visibilité était totale à l'horizon. L'avion a enfin atterri à Anchorage, avant sa destination finale près de Tokyo.

Un homme a été désigné pour interroger les trois hommes. Il a reporté que ces hommes n'avaient ni menti, ni halluciné. Ce qu'il a vu sur les visages de ces hommes ne pouvait être feint. Le co-pilote et l'ingénieur de vol étaient en état de choc important, parlant et respirant vite.

Le capitaine a fourni des descriptions très précises, alors qu'il a subi un interrogatoire de plusieurs heures, où il a dû répéter plusieurs fois la même chose. Son récit n'a jamais varié. Le même jour, le capitaine a dessiné ce qu'il a vu. Il a dit qu'il pense qu'il s'agissait d'un vaisseau mère, affirmant que sa technologie était de loin supérieure à tout ce qu'il avait pu imaginer un jour.

Le lendemain, cet incident était connu de tous les supérieurs à Washington. John J. Callahan (Chef de division de la FAA accidents et enquêtes), a reçu toutes les données et toutes les informations concernant ce qui s'est produit la veille.

Après avoir pris connaissance de tous les faits et de toutes les preuves, il était convaincu que c'était bien la première fois qu'ils étaient en présence d'un incident ufologique très bien documenté et filmé par plusieurs radars, dont des radars indépendants, que les scientifiques pouvaient analyser.

Tous les radars ont reporté des objets non identifiés qui ont bien persécuté l'avion. John J. Callahan a expliqué qu'à cette époque, il n'existait pas d'avion connu qui puisse effectuer de telles manœuvres, ni voler à une telle vitesse. Pour lui, on ne pouvait que leur donner un nom : OVNI (Objet Volant Non Identifié), ou UFO en anglais (Unidentified Flying Object).
 

Après l'analyse de la FAA et du rapport officiel concernant l'incident, John J. Callahan était très enthousiaste à l'idée de partager cela avec le public et les scientifiques. Il voulait d'abord partager les documents avec le Conseil Scientifique, des agents de la CIA et du FBI. Ils les a réuni.

Lors de cette réunion, un agent de la CIA s'est levé et a parlé d'une manière autoritaire et très menaçante, affirmant que ces évènements n'avaient jamais eu lieu. A partir de là, une campagne de désinformation, d'intimidation visant également à salir la réputation de tous les témoins aurait débuté. Cet agent aurait menacé les participants, en leur disant que même cette réunion n'avait pas eu lieu.

Tous les documents et les preuves ont été confisqués. Il aurait obligé les personnes présentes à jurer de garder le silence, en leur confirmant qu'il s'agissait effectivement de quelque chose qui n'appartenait pas à la terre. Il leur a dit que le public ne devait pas être au courant, car l'espace aérien était menacé.

30 ans plus tard une fois à la retraite, John J. Callahan a brisé le silence. Il parlé de l'incident dans des interviews.

Trois mois après les incidents vécus par les pilotes japonais, la FAA s'était manifestée en 1987 dans une conféence de presse où elle a dénigré l'équipage.

John J. Callahan affirme qu'il ne reconnaissait plus les témoignages originaux. La FAA aurait tout changé et présenté des documents falsifiés à la presse et dans les rapports officiels.

La FAA a déclaré par exemple que les radars ont collectivement souffert d'un bug au même moment. Rien n'avait été détecté finalement. L'équipage aurait confondu la planète Vénus avec un OVNI, la même chose qu'on a dit au public à propos de l'incident de Boianai dans les années 1950. 

Le public a accepté ces explications et durant plusieurs décennies, cette histoire était considérée comme un faux évènement, une fake news comme on dirait de nos jours. 

Ce n'est qu'en 2011 que John J. Callahan a déclaré dans une interview, que le Gouvernement avait menti et falsifié les documents et la réalité. Il a alors apporté les preuves qu'il avait dissimulé. Il avait eu la présence d'esprit de faire des copies de tous les documents et enregistrements :

L'enregistrement des conversations, les dessins du pilote, la position des radars, et tout ce que les radars avaient détecté. La population a alors compris que l'évènement de 1986, était réel.

John J. Callahan a montré toutes les preuves dans un programme de télévision, affirmant et réaffirmant que tout est véridique. Les journalistes ont demandé des comptes à la CIA, elle a refusé de se prononcer.

Concernant le pilote japonais, il a parlé à deux journaux japonais, quelques mois après l'incident. Sans surprise, on l'a ridiculisé, les officiels japonais avaient adopté la posture de la CIA.

On lui a dit qu'il souffrait de confusion mentale.  Il a perdu son poste, on l'a relégué à un petit emploi dans un bureau durant plusieurs années, avant de le réintégrer peu de temps avant sa retraite. Il n'a plus jamais ouvert la bouche concernant ce qu'il a vécu en 1986.

PS : John J. Callahan a participé au documentaire de 2021 : Who Saw The Men In Black (Qui a vu les hommes en noir). Parcours des témoignages oculaires depuis le début de l'histoire de la dissimulation des OVNIS à partir des années 1940.

Début des années 2000 : Le géant de Kandahar

La première fois que j'ai entendu parler du géant d'Afghanistan, c'était sur la chaîne de télévision Planete+ No limit (anciennement Planète Choc), qui n'existe plus il me semble. Cela fait plus de 10 ans maintenant, depuis je n'en avais plus entendu parler et je n'ai pas non plus cherché, je n'y pensais plus. Lorsque je me suis à nouveau intéressé à ce sujet récemment, j'étais étonné de constater le nombre de personnes qui parlent d'un faux évènement. Après tout, cela peut très bien être une légende urbaine, même si on ne peut plus ignorer que les Gouvernements décident de ce qu'on doit savoir et quand. Nous savons qu'ils peuvent faussement confirmer ou infirmer une vérité, cela s'est déjà vu dans plusieurs autres évènements.

Dans le documentaire que j'avais regardé, au moins deux soldats américains témoignaient avoir réellement vu le géant et/ou participé à son assassinat. J'ai trouvé cet article qui a retracé les évènements un peu comme la chaîne Planete+ l'avait diffusé.

Par : sciencetimes

Un géant de presque 4m aux cheveux roux, aurait été tué à Kandahar par des soldats américains en Afghanistan. 

Le Gouvernement américain aurait "tué et dissimulé" un géant de 4m aux cheveux roux, qui avait six doigts à chaque main et qui vivait dans les hautes terres afghanes. Dans une vidéo YouTube aujourd'hui supprimée, un témoin a affirmé avoir assisté à l'horrible incident.

L'armée américaine a "tué" le géant de Kandahar

Dans une conversation avec le YouTuber LA Marzulli (par Daily Star), le prestataire militaire (Société militaire privée) a affirmé avoir été présent lors du meurtre sauvage de celui qu'il a surnommé : le géant de Kandahar.

Marzulli discute du "Géant de Kandahar" avec un homme prétendant être un soldat, qui se consacre à présent à relier les événements contemporains aux prophéties bibliques. 

Avant que les " forces spéciales " ne l'abattent, M. K a affirmé avoir observé le monstre tenant une lance et tuant un soldat américain nommé «Dan». Rien ne peut être vérifié. Dans un autre témoignage, un militaire a déclaré que le géant sentait très mauvais, comme l'odeur d'un cadavre en décomposition.

Qui est le géant de Kandahar ?

Selon Indie88, le géant de Kandahar est l'une des deux possibilités suivantes.

• Soit, la réalité d'une énorme créature de 4m de hauteur qui vivait dans les hautes terres d'Afghanistan et qui a été tuée par les troupes spéciales américaines. Les autorités ont ensuite dissimulé la mort du géant.
• Soit, Un mythe total.

En août 2016, le YouTubeur Marzulli a publié une longue interview de M. K, le prestataire militaire. Au cours de la conversation, M. K a déclaré qu'il faisait partie de l'équipe qui a exécuté le géant de Kandahar. L'incident se serait produit au début des années 2000, lorsque l'armée américaine combattait les talibans dans la province de Kandahar. Cette créature massive, n'était pas du tout un combattant humain.

À quoi ressemblait ce monstre ?

Le géant de Kandahar, selon M. K, mesurait 13 pieds (presque 4m), et possédait des crocs. Il avait une lance lorsqu'il a été assassiné par les des forces spéciales en moins de 30 secondes, durant lesquelles, il a reçu une rafale de tirs. Les forces armées ont transporté son corps dans un hélicoptère Chinook et l'ont caché, personne d'autre ne l'a vu.

Dans certains récits, les militaires ont estimé sa taille à 15 pieds (environ 4,5m), il avait six doigts à chaque main, portant des sortes de chaussures en peau qui sentait très mauvais lorsqu'il est apparu dans une grotte, tuant un soldat avec sa lance.

"L'escouade était armée de carabines M4 entièrement automatiques, de carabines de reconnaissance semi-automatiques et de fusils M107 Barrett tirant .50 BMG. Cette puissance de feu concentrée sur une cible pendant seulement une seconde, sans parler de trente, est extrêmement destructrice", a déclaré un rapport.

Des accords de non-divulgation (NDA) étaient exigés des soldats.

L'accord de non-divulgation est un contrat signé entre deux parties qui engage l'une d'entre elles (ou les deux parties, s'il s'agit d'un accord bidirectionnel) à ne pas divulguer ou exploiter des informations dont il aurait connaissance dans le cadre contractuel. (source)

Certains ont rompu le silence parce qu'ils croyaient que la vérité devait être révélée. Pour eux, le public a le droit de savoir.

Le Gouvernement américain nie

Lorsque Snopes a posé des questions sur "l'incident du géant de Kandahar" en 2016, le ministère de la Défense a déclaré : "Nous n'avons aucun dossier ni aucune information sur un membre des forces spéciales tué par un géant à Kandahar".

Une petite vidéo en anglais :