Septembre 1994 : Le cas de l’école Ariel

21 Décembre 2022

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Septembre 1994 : Le cas de l’école Ariel

Le 16 septembre 1994, des enfants d’une école privée ont été témoins d’une étrange apparition. Ils attestent encore à ce jour, la véracité de leur récit.

62 enfants au total, ont vu quelque chose en plein jour pendant la récréation. Ce cas a été enquêté et étudié par plusieurs professionnels, avant de devenir un classique de l'ufologie moderne.

L’école primaire en question se situe au Zimbabwe.

Fondée en 1990, elle accueillait 218 élèves âgés entre 5 et 12 ans. Les enfants étaient issus de plusieurs nationalités, des zimbabwéens mais aussi beaucoup d’enfants de travailleurs étrangers venus principalement du Canada, des Etats-Unis ou de la Grande Bretagne.

Vers 10h15 ce vendredi 16 septembre 1994, les maîtres étaient en réunion pendant que des enfants étaient en pleine récréation. Seule la psychothérapeute de l’école qui s’occupait également de la cantine, n’était pas présente à la réunion des maîtres.

Les élèves jouaient, criaient et couraient dans un brouhaha habituel d’une cour d’école. Mais soudain, quelques enfants ont remarqué 5 objets lumineux qui passaient au-dessus de leur école. Les objets étaient ronds, argentés, d’aspect aplati, avec des petites fenêtres autour de chaque engin. Les objets se déplaçaient rapidement, puis ils émettaient comme des flashs et ensuite, ils disparaissaient pour réapparaitre ailleurs dans le ciel.

Ces objets sont apparus à trois reprises, la troisième fois, ils sont descendus. L’un d’eux est descendu jusqu’au sol, à environ 100m des enfants, dans un coin où il y avait quelques arbustes. Le terrain n’appartenait pas à l’école. Entre l’école et le terrain en question, se trouvait une zone dégagée, comme une frontière entre l'école et la forêt. L’endroit où l’objet s’est posé, était plus sauvage.

Lorsque les enfants se sont approchés, ils ont aperçu un « petit homme » qui est descendu de l’appareil et qui a fait quelques pas en leur direction. Il s'est brusquement arrêté, il a disparu. Un autre petit homme sinon le même, est apparu derrière l’objet.

Les enfants le décrivent comme faisant un peu plus d’1 mètre, portant une combinaison très proche du corps, quelque chose qui pourrait ressembler à une combinaison de plongée, mais brillante. D’autres enfants ont la certitude qu’il pourrait s’agir de sa propre peau. Les enfants ont décrit cet être avec de grands yeux obliques et une bouche qui formait un trait bien linéaire.

Les êtres n’ont jamais parlé, ils ont communiqué directement dans la tête des enfants.

C’est en regardant directement dans les yeux de l’être, que les enfants disent avoir entendu des choses. Le message envoyé par ce qui semble être de la télépathie, est que les hommes polluent et détruisent la terre, si les choses ne changent pas, les conséquences seront terribles. Certains enfants auraient alors perçu des images de fin du monde, montrées directement dans leur tête.

Après avoir livré son message à quelques enfants, le petit être est entré dans l’engin qui a tout simplement disparu.

Les plus jeunes enfants se sont mis à pleurer, ils étaient en panique en pensant qu’il s’agissait d’une créature folklorique dont les parents racontent qu’ils mangent des enfants.

Les plus âgés se sont mis à courir à la recherche des adultes. Ils ont couru vers la cantine où la psychothérapeute ne saisissait pas au début ce que les enfants essayaient de lui dire. Les enfants disaient que des petits hommes habillés en noir s’étaient présentés à eux. Comme elle pensait que les enfants faisaient une sorte de jeu, elle n’a pas bougé de la cantine, elle n’est pas sortie voir si les engins étaient encore à l’extérieur.

Les professeurs qui étaient en réunion, ont témoigné qu’ils avaient remarqué un bruit un peu hors du commun, mais ils étaient à mille lieux de se douter de ce qui se produisait près de la cour de l’école. Ils ont poursuivi leur réunion. Lorsqu’ils sont sortis, les enfants étaient encore agités et apeurés. Les enfants leur parlaient, ils parlaient aussi entre eux. Très vite, tout le personnel de l’école était au courant de l’histoire et cela est arrivé aux oreilles du directeur. Il a fait venir les enfants à qui il a demandé séparément, de dessiner ce que chacun a vu.

35 enfants ont dessiné ce qu’ils ont vu, leurs dessins allaient dans le même sens : des engins ronds et des petits « hommes ».

Une fois à la maison, les enfants ont naturellement tout raconté à leurs parents, qui se sont montrés assez effrayés. Les parents se téléphonaient les uns les autres, pour savoir si les autres enfants racontaient les mêmes choses.

Comme plusieurs parents étaient étrangers, ils ont téléphoné à leurs familles dans leurs pays d’origine. La nouvelle est devenue mondiale en l’espace d’un weekend. Des enfants avaient reçu la visite d’êtres d’un autre monde !

Lundi matin, les parents étaient devant le directeur pour comprendre. Ce dernier s’est engagé à entreprendre des investigations.

Il a commencé par trouver une ufologue dans la région pour demander conseil sur la façon d'interroger les enfants sur ce sujet si particulier. Cette dernière de prénom Cynthia, lui a indiqué la procédure à suivre. Le directeur a interrogé tous les élèves témoins, 62 d’entre eux ont fourni pratiquement le même récit.

Le lendemain mardi, le directeur a dit qu’il croyait aux récits des enfants, car s’ils avaient inventé cela, ils se seraient contredits d’une façon ou d’une autre. Il a estimé que leurs émotions n’étaient pas feintes. Le lendemain, Cynthia s'est rendue à l’école, elle a déclaré que certains récits étaient si identiques, qu’elle ne pensait pas non plus que les enfants avaient inventé quoi que ce soit. Le directeur de l’école a renchéri en affirmant qu’ils connaissaient bien ces enfants en question, c’était une petite structure scolaire.

Des reporters sont venus, ils ont examiné la zone d’atterrissage cherchant des traces, des preuves. Certains étaient munis d’un compteur Geiger pour mesurer la radioactivité, mais ils n’ont rien trouvé.

Un second ufologue de l’université de Harvard devait se rendre à l’école en question, mais il ne pouvait venir que deux mois plus tard. Entre temps, les plus incrédules affirmaient que les enfants avaient été victimes d’une hystérie collective.

Pourtant, on s’est souvenu que deux jours avant ce que les enfants ont vécu à l’école c’est-à-dire le 14 septembre au soir, entre 20h50 et 21h05, des milliers d’habitants de la région ont vu une pluie de météores.

Le phénomène était visible en Zambie et au Botswana, deux pays proches. Il se trouve que des personnes avaient témoigné avoir vu au moins un objet volant lumineux durant cette pluie de météores. Ces personnes disent que l’objet dégageait des lumières vertes, oranges et jaunes à l’arrière. Il volait à des vitesses variables, jusqu’à descendre au-dessus des maisons avant de reprendre de l’altitude et repartir très silencieusement.

Lorsque John Mack, l’ufologue également psychiatre, a pu se rendre au Zimbabwe, il a interrogé les élèves, en particulier ceux qui avaient été très affectés.

Dans son rapport, il conclut que les enfants n’ont pas vécu une hystérie collective, ni une hallucination. Ce que les enfants ont vécu est réel. Ils ont fait l’expérience d’un contact « intense » avec un être, il n’existe pas d’explication d’ordre psychiatrique pour ces enfants, leurs récits sont authentiques.

Le recteur de l’université de Harvard a demandé qu’on fasse une enquête sur John Mack, parce qu’il n’était pas à l’aise qu’un psychiatre de l’université atteste des récits de ce type.

L’enquête n’a rien prouvé de suspect concernant le professeur. Le recteur ne voulait pas associer la prestigieuse université d'Harvard à des histoires d’êtres d’autres planètes, ils voulait chasser le psychiatre, mais le contraire s’est produit.

Des personnes ont envoyé des dons pour que le professeur approfondisse ses recherches dans ce domaine. Il a écrit un livre au sujet de cette école, malheureusement il est décédé en 2004, renversé par un bus.

Les témoins sont à présent adultes. Certains habitent encore au Zimbabwe, d’autres aux Etats-Unis, au Canada, etc. Tous racontent toujours la même chose, avec les mêmes détails, leurs récits n’ont pas varié.