Sombres secrets (Partie I)

Attention, ces extraits sont très durs, n'allez pas plus loin si vous n'avez pas l'habitude de lire ou de vous intéresser à des sujets liés au satanisme, à la pédocriminalité et à des sacrifices humains.

C'est une compile de certains articles que vous connaissez déjà et de quelques extraits traduits d'une vidéo qui compile des témoignages à travers le monde. Vous en connaissez certainement déjà la plupart également. Le lien de la vidéo hébergée chez BitChute, se trouvera à la fin  de cette série dont voici la première partie. 

- Vous parlez d'une jeune fille, mise nue sous une croix ... Quand vous parlez des fœtus, qu'on arrache du ventre de leurs mères et qu'on sacrifie, vous parlez de quoi ?

- Je vous parle de personnes que j'ai rencontrées, que j'ai aidées pendant des années, qui ont été la proie de groupuscules extrêmement redoutables, pratiquant ce qu'on appelle les messes noires, des rites, de la magie et de sorcellerie, avec des meurtres rituels. Sous le couvert, je pèse mes mots, d'une part de la mafia, de tous les réseaux mondiaux de la prostitution de bas ou de hauts étages. Et, d'autre part, de personnalités qui tiennent des postes clés dans notre civilisation. Que ce soit dans le monde de la politique, de la magistrature, dans le monde scientifique, dans le monde de la finance, dans le monde intellectuel, je dirai même hélas ... trois fois hélas, le monde ecclésiastique. Des prêtres défroqués, se retrouvent dans ces sectes de messes noires, de meurtres rituels, c'est assez effroyable.

Père Georges Morand (prêtre exorciste) 1930-2014

"Ce qu'on sait des sacrifices depuis les époques anciennes, c'est que c'est une façon d'apaiser les dieux et attirer les démons. Ça demande de tuer des enfants, tu dois jeter un bébé, un nouveau-né, dans un grand feu. Les enfants sacrifiés étaient jetés dans une fosse à feu, nommée : Topheth. Les tambours raisonnaient pendant que les enfants criaient. Concernant la bataille de Syracuse, ils ont jeté près 1 500 enfants dans le feu … ". Narrateur

Ils ont bâti des hauts lieux à Topheth dans la vallée de Ben Hinnom, Pour brûler au feu leurs fils et leurs filles : Ce que je n'avais point ordonné, Ce qui ne m'était point venu à la pensée. Jérémie 7:31. LSG

Si vous croyiez que ces sacrifices ont cessé, vous ne connaissez pas la planète terre telle qu'elle est réellement, dans son fond et dans son fonctionnement. Cela se produira aussi longtemps qu'elle existera, aussi longtemps que la Providence ne viendra pas mettre une fin définitive, à toute forme de vie.

"J'ai été placée au centre d'un cercle, il y avait du feu autour de moi. A ce moment-là, ils m'ont dit que je me mariais à Satan et que je serai l'enfant de Satan pour toujours. … Puis on m'a retiré du cercle de feu, j'ai été violée par les hommes de la secte".

" La magie noire est 100% réelle, il n’y a rien de fictif à propos de la magie noire. C’est un fait, c’est un fait que cela existe depuis plusieurs milliers d’années. Soyons clairs, lorsqu’on parle de magie, on parle de : satanisme, nécromancie, alchimie, sorcellerie, culte à Satan. Nous parlons d'adoration aux forces occultes, que ce soit par : le Vaudou, le Juju, des choses pratiquées en Occident, en Orient, etc. C’est tout simplement le culte aux forces du mal, incarnées par Satan, Lucifer, les princes des ténèbres et leurs restes, dans une forme simple tout comme cela peut aller beaucoup plus en profondeur. C’est un fait que cela est désespérément dangereux ; cela existe, cela existe autour de nous, de nos jours.

Des cérémonies satanistes se produisent en Grande Bretagne ce soir même. Demandez à n’importe quel prêtre, aux membres des forces de l’ordre, de la loi, et ils vous diront qu’il y a une sorte de satanisme, c’est là et c’est là depuis des milliers d’années, l’homme a toujours adoré le Diable en tant que figure religieuse." 

Christopher Lee (1922-2015)

De temps en temps, la police ose divulguer des faits divers liés au satanisme, mais on est bien loin de l'intensité réelle de ce qui se produit dans certains lieux et dans certains foyers.

"En février 2014, deux adolescents texans ont torturé une jeune fille jusqu'à la mort, cela faisait partie d'un rituel pour vendre leur âme au Diable"

"Le 1 février 2018, la police brésilienne a fourni des détails macabres concernant le sacrifice d'un enfant. Le rituel satanique avait pour but d'offrir l'enfant à Moloch en échange de prospérité."

Ronald Bernard est un homme d'affaire néerlandais ayant navigué dans les hautes sphères de la finance internationale.

- Pouvez-vous me dire la pire chose qui s'est produite et qui a causé le basculement de votre situation ?

- Eh bien, ça a été le début de la fin. Vous entrez si profondément dans ces cercles, on vous fait signer un contrat à vie, (pas avec votre sang), afin que vous ne divulguiez jamais les noms des entreprises, des organisations ou des personnes. Je pense que c'est pour cela que je suis toujours en vie. Vous devez vous y tenir. Si nous devons parler des pires choses que j'ai vécues, je vais vous parler de quelque chose qui a "décongelé" ma conscience. 

J'ai été entraîné pour être un psychopathe, cela a échoué car je n'ai pas terminé ma "formation". Je ne suis pas devenu un psychopathe, ma conscience est revenue. C'était difficile pour moi car j'avais un bon statut, j'avais du succès, j'avais la confiance des gens qui naviguent à ce niveau-là.

Pour être précis, la plupart de ces gens adhèrent à une religion "spéciale". Vous avez les catholiques, les protestants, toutes sortes de religions. Ces gens, la plupart d'entre eux, étaient des lucifériens.

Vous pouvez toujours dire que c'est fantaisiste, que Dieu n'existe pas, que rien de tout cela est réel, mais pour ces gens, c'est la vérité et la réalité. Ils servent un plan supérieur, immatériel, qu'ils appellent : Lucifer.

J'étais en contact avec ces cercles/réseaux, mais je m'en suis détaché parce que pour moi, ce n'était que des clients. J'ai donc fréquenté des lieux appelés : "Eglise de Satan".

- Nous parlons donc là de satanisme ?

- Oui, j'ai visité ces cultes, juste comme visiteur laissé de côté dans un coin. Ils faisaient leurs "saintes messes", avec des femmes nues, des liqueurs, etc. Cela m'a alors simplement amusé. Je ne croyais pas à ces choses-là, j'étais loin d'être convaincu que ces choses étaient réelles.

- Ce n'était qu'un spectacle pour vous ?

- Oui. Je pensais que le mal était au sein même de ces personnes, je n'avais pas encore fait la connexion. J'étais un simple invité dans ces cercles et cela m'amusait de voir toutes ces femmes nues, etc. C'était la belle vie. Mais à un moment donné, j'ai été invité … à participer à des sacrifices à l'étranger (émotions). C'est pourquoi je vous raconte tout cela, ça a été le point de rupture, les enfants (sacrifices).

- On vous a demandé de le faire ?

- Oui, je n'ai pas pu faire ça … (pleurs)

- Vous voulez faire une pause ?

- Non … Après ça, j'ai lentement commencé à sombrer. Je vivais moi-même comme un grand enfant et cela m'a donc profondément choqué. Tout a changé, mais c'est le monde dans lequel je me suis retrouvé. Ensuite j'ai commencé à refuser des tâches dans mon métier, je ne pouvais plus le faire, ce qui a fait de moi une menace pour eux bien sûr. Je ne pouvais plus fonctionner de façon optimale, je vacillais et refusais des tâches. Je n'y avais pas participé, leur but est d'avoir tout le monde dans leur poche. Cela marche avec le chantage. Vous devez pouvoir être soumis au chantage. Ils le font par le biais de ces enfants. Cela m'a bouleversé.

- Cela n'a rien de nouveau, ce sont des pratiques qu'on retrouve en politique.

- Vous trouverez suffisamment de témoignages sur internet pour savoir que ce ne sont pas des histoires de science-fiction. Malheureusement, la vérité est que, c'est dans le monde entier, depuis des milliers d'années. J'ai un peu étudié la théologie et la Bible, vous trouvez des références à ces pratiques chez les Israélites. Le bannissement des 10 premières tribus est lié à ces rituels avec les enfants, y compris le sacrifice de sang de ces enfants.

Tout cela a un sens et m'a montré qu'il y a des choses au-delà de ce qu'on peut voir (pleurs). Il y a tout un monde invisible, c'est une réalité. Nous parlons là d'une force obscure et d'une manifestation de la Lumière. J'ai donc étudié la théologie pour donner du sens à tout cela.

- Et la psychologie également, n'est-ce pas ?

- Oui. Mais c'était dans ma première vie, la psychologie commerciale, la psychologie de masse. J'étais capable de manipuler des situations à mon profit.

- C'est effrayant, en creusant ce sujet on trouve l'Institut Tavistock, le contrôle mental. Mk- Ultra, Monarch, etc …

- Oui. C'est exact, mais cela fait partie du travail. De par ma formation, je m'y suis intéressé, car lorsque vous faites des transactions (pleurs), vous devez également manipuler les médias. Vous devez manipuler beaucoup de choses, car rien ne doit être laissé au hasard. Tout est faussé, vous voyez le peuple comme un troupeau de moutons.  Vous y mettez des œillères, pour les guider dans une direction. Pour être honnête, je vois que cela continue partout autour de moi. Les gens continuent à être traités de la même manière que les méthodes que j'employais. Cela fonctionne toujours. Les gens ne comprennent pas toujours les manipulations et sont encore au niveau : "tant que j'ai ma bière, etc".

Ils sont complètement absorbés dans un mécanisme de survie, c'est une programmation. Mais vous voyez, comme il est facile de conditionner les gens dans une direction, lorsque vous tirez les ficelles.

- Psychologie des masses

- Oui.

Les enfants Roche

" Notre père est venu nous trouver à Toulouse alors que nous étions encore étudiants, pour nous dévoiler ce que nous racontons dans les interviews et différents sites internet … C'est-à-dire l’existence d’un groupe secret, des gens de pouvoir, de tous types de milieux : la police ; la politique ; la finance. Il nous a parlé des gens des milieux médicaux, mêmes universitaires". 

"Ce groupe secret recrutait beaucoup dans les milieux judiciaires, même les policiers hauts gradés y étaient très appréciés. Il s’agirait donc d’un groupe secret dont les activités consistent à mener des sortes de cérémonies dans le plus grand secret, où l’on conjugue des pratiques étranges et uniformément dégoûtantes que la sexualité de groupe, la scarification. Il a évoqué devant nous, des images à faire dresser les cheveux sur la tête. Il nous parlait de chairs calcinées, de brûlures de cigarette, de chairs transpercées".

"Il nous disait que les personnes qui étaient torturées, parfois tuées à l’occasion de ces séances, … déjà les personnes tuées n’étaient jamais consentantes. Parmi ces personnes torturées il y avait des malades qui réclamaient ce genre de traitements, et puis des personnes non consentantes, parfois des enfants qui étaient d’abord torturés puis mis à mort. Le tout filmé, faisant l’objet d’un trafic de cassettes vidéo illégales, qui s’échangeraient à des prix fous, sous le manteau."

"Il nous a dit que les proies de ce groupe de prédateurs de la haute société, étaient recrutées dans les couches les plus basses de la société. Parmi les catégories de personnes, que personne n’irait rechercher. Il nous a parlé de prostituées, il nous a parlé de clodos, il a parfois mentionné des étrangers en situation irrégulière, suivant ce qui leur passait sous la main, j’imagine. C'est-à-dire, des gens qui ont rompu les liens avec leur environnement, soit qui n’ont pas d’existence légale, c’est le cas justement des étrangers en situation irrégulière, et donc, en tout cas des gens que personne ne va aller chercher, ou à propos desquels l’enquête sera plus ou moins vouée à l’échec dès le départ".

"Les membres de ce groupe, de par leur position influente, sont à même dans le cas où certaines affaires menaceraient de sortir, de les couper dans l’œuf, d’autant qu’ils se tiennent tous par la barbichette".

"Notre père sentait sa vie terriblement menacée. Car, au moment où il a cru que sa carrière était ruinée du fait des fuites qu’il avait eues à propos de sites internet, qui l’ont fait paraître au sujet de la jeune femme, il a fait pression sur Dominique Baudis, qui était un de ses amis personnels, pour que cette affaire ne sorte jamais dans les médias audiovisuels".

"Les médias audiovisuels, pourtant prévenus, n’ont jamais publié cette affaire. Dominique Baudis a assez d’influence pour s’inviter sur TF1 s’il le veut, alors que François Hollande était prévu de longue date ce soir-là. Il a aussi en son pouvoir, d’empêcher du moins pour un temps, la sortie d’une telle affaire dans les médias audiovisuels. Tout semble le corroborer".

"Notre père nous a indiqué, être allé voir Dominique Baudis, encore à Toulouse, pour exercer sur lui des pressions afin d’obtenir de lui, que les médias audiovisuels ne diffusent pas cette histoire. Seulement le chantage est une arme à double tranchant, autant la manipulation déraisonnable de cette arme a permis à notre père dans un premier temps d’obtenir tout ce qu’il voulait, le non traitement par les médias, le non traitement de cette information et les garanties écrites de la chancellerie. Autant, après l’avoir rassuré de cette manière et d’avoir attendu que les choses se tassent un petit peu, il semble que ce chantage déraisonnable l’ait mené à sa perte".

"Il y a eu trois entrevues. Notre père savait où nous trouver à Toulouse, il savait qu’on était étudiants. Il avait notre certificat de scolarité. Voyant que le sol se dérobait sous ses pieds, ne sachant plus vers qui se tourner, malgré tout ce qu’il nous avait fait subir par le passé, …, notre mère a subi pas mal de choses par le passé en tant que femme de magistrat. Notre père a été transformé en monstre par ce système qui fabrique des monstres. Les nouveaux inquisiteurs, ceux qui se posent en moralisateurs de la société, ils sont en fait des gens qui n’ont pas de leçons à donner à un quelconque malfrat. Les criminels ont au moins un code d’honneur, ce qui n’était pas le cas de mon père".

"Il a jugé les autres à un haut niveau depuis des années et des années, puisqu’il était président de chambre de cour d’appel".

"Donc voyant le sol se dérober sous ses pieds, voyant qu’il avait lancé une machine infernale, qui se tournait contre lui, qu’il ne pouvait plus arrêter, notre père s’est en dernier ressort, tourné vers ses deux enfants, il est piteusement allé vers nous. Ce qui a donné lieu à trois longues discussions qui sont allées crescendo, puisqu’il nous a raconté de plus en plus de choses, il devenait d’ailleurs de plus en plus nerveux au fil de ces trois discussions".

 "Il se sentait menacé, ce qui se voyait déjà en filigrane dès la première discussion. Il nous a dit dès la deuxième, qu’il était carrément menacé de mort. Par la suite il a passé toute une nuit à brûler des documents et des photos. J’ai bien dit toute une nuit, pas simplement une heure. Apparemment il fallait à tout prix brûler ces choses. Ni la poubelle, ni le broyeur n’étaient suffisants. Nous ne savons pas s’il a brûlé tout ce qu’il avait en sa possession. Il en a brûlé en tout cas, au moins une partie substantielle. Sa motivation pour cela était apparemment de sauver sa tête. Les personnes qui avaient intérêt à se débarrasser de lui, souhaiteraient qu’il se débarrasse de ces cartouches, mais il semble en fait, que ce soit le fait d’en avoir brûlé de la sorte, de se débarrasser de ces dernières munitions, qui a justement emmené ces gens-là à passer à l’acte".

"Rien n’est normal à propos de la mort de notre père. Il est mort le 22 février 2003, nous sommes aujourd’hui en septembre 2005. Depuis tout ce temps-là nous n’avons cessé de remuer ciel et terre, pour savoir la vérité sur la mort de papa. Elle est indéterminée et indéterminable. L’acte de décès ne mentionne aucune cause de décès, ni l’intervention d’aucun médecin. On dit simplement qu’une personne qui travaille dans une entreprise des pompes funèbres, a constaté qu’il était mort. On l’a aussitôt mis en boîte et au feu. Nous n’avons jamais été prévenus de la mort de notre père. Nous l’avons appris par la suite, lorsqu’il était trop tard pour assister aux obsèques. Sa deuxième femme nous l’a délibérément caché. Il a été incinéré en toute hâte le jour même des obsèques, en dehors de l’observation des règles qui doivent présider avec la crémation d’un corps, qui visent justement à ce qu’on se débarrasse d’un cadavre suspect".

"Dès que nous l’avons su, nous avons saisi, nous les deux enfants d’un magistrat haut gradé en exercice, mort dans des conditions suspectes, nous avons personnellement saisi le garde des sceaux en recommandée avec accusé de réception, concernant la mort suspecte de leur père. Nous attendons toujours sa réponse. Il n’ose même pas nous répondre, pas plus qu’il ne répond à 15 parlementaires de l’opposition, députés et sénateurs confondus, qui ont saisi ce dossier.  (…)"

Les enfants du magistrat Roche.

Témoignage : J’ai échappé à un sacrifice humain