Pas d'avertissement en particulier, contrairement aux autres parties
Témoignage de Ronald BERNARD , ancien agent des banquiers lucifériens de la haute-finance internationale (vidéo 33 minutes en anglais à la fin + une version de 9 minutes sous-titrée en français). Une partie de son témoignage figure dans à la partie I, de cette série, où il se confiait à une journaliste. Ici il parle à une commission d'enquête.
Londres, juin 2018 - Déposotion de Ronald Bernard devant le : Judicial Commission of Inquiry into Human Trafficking and Child Sex Abuse.
Extraits (2 pages)
Je n'ai rien préparé, je me laisserai guider. (…)
L'horreur à laquelle nous faisons face aujourd'hui est notre horreur. Le monde auquel nous faisons face aujourd'hui n'en est pas là à cause des responsables de cela seulement, c'est à cause de plusieurs milliards de personnes qui ne font rien. Ils ne sont pas coupables de cela, mais ils sont ignorants.
Maintenant que j'ai dit cela, j'ai évolué dans le monde criminel sous la brillante couverture de l'import/export. A un jeune âge, on parle d'à peu près 20 ans, j'avais déjà des voitures qu'on ne peut se permettre d'avoir à moins d'être riche. J'avais l'image hollywoodienne d'une personne qui avait réussi. Plusieurs personnes disaient de moi que j'étais riche parce que mes parents en avaient les moyens, sinon comment aurais-je pu avoir ces choses à 20 ans.
En dehors de ce business, je suis entré dans le trading de devises, l'argent sale. Puis un des gars au Brésil qui était l'un de mes partenaires dans l'argent sale et qui s'occupait des devises, m'a dit : Puisque tu es diversifié et occupé 24H sur 24H, tous les jours, avec toutes tes affaires et activités, pourquoi ne vas-tu pas dans le commerce de l'argent ? Nous avons une licence disponible et nous pouvons conclure un accord. C'est Offshore, rien n'est à ton nom, et cela pourrait devenir une belle carrière pour toi. Il y a une condition, un avertissement, tu devras mettre ta conscience au congélateur à -100° !
Je lui ai répondu, pas de problème, je suis déjà un homme mort de toute façon, pas de problème. Etape par étape, je suis devenu un serviteur de gros sous. Cela a encore pris quelques années avant d'atteindre des hautes sphères. Il se passait des choses de plus en plus excitantes, comme la Russie, les services secrets. Ils imprimaient de meilleurs dollars américains que les dollars américains de la Réserve Fédérale Américaine en circulation. Ils étaient de meilleure qualité. Ils étaient imprimés en URSS. Notre but était d'inonder le marché grâce à des grands trafiquants de drogues, de trafiquants d'armes, toutes sortes d'activités criminelles car c'était le moyen d'introduire massivement de l'argent, par des voies illégales. Après tout, cela faisait juste partie du jeu. Cela faisait partie d'une guerre économique entre la Russie et les Etats-Unis, à l'époque. Les américains faisaient la même chose, mais je l'ignorais.
A 24-25 ans, j'étais impliqué dans une guerre économique. Après avoir rempli ces objectifs, ils commencent à vous marquer.
Voilà un homme brillant, un homme qui parvient à manipuler les règles du système, il sait percuter çà et là.
Alors ils commencent à vous donner de plus grandes responsabilités. Là tu commences à travailler pour des banques, on vous fait faire le sale boulot pour des Banques Centrales, des multinationales, pour ce qu'ils appellent 'des organisations terroristes', mais aussi pour tous les services secrets. Les services secrets ? Assurément !
Ensuite, la cerise sur le gâteau, les églises !
Maintenant vous savez où l'argent se trouve, beaucoup d'argent. Là on vous invite à rejoindre des cercles, pour déplacer leurs capitaux à travers le monde, pour déclencher des guerres. Sur cette planète, il n'existe presque pas de misère qui arrive de façon naturelle. La majorité d'entre elles ont été créées. C'est un système qui repose sur la dualité. (…)
Ce ne sont pas des élites, les gens pour qui j'ai travaillé jusqu'au bout, ce sont environ 8 000 à 8 500 personnes, qui dirigent le monde.
Je peux vous donner des détails de ce monde, car indirectement je tuais des gens. Comme si vous êtes dans un bombardier et que vous lanciez des bombes, je l'ai fait par la finance. Comme détruire temporairement l'économie de l'Italie. Plus tard lorsque tu te trouves dans les marchés financiers, ceux qui ont été impliqués, riaient. Ils riaient parce que des gens se sont suicidés, suite à la destruction de leurs entreprises. Des gens qui laissent femmes et enfants. Nous riions à propos de ces drames, nous nous réjouissions de cela. C'est de ce monde dont je suis sorti.
Ce qui m'a fait changer, c'était que mon équipe et moi étions si efficaces dans les missions qu'on nous confiait, qu'ils ont estimé que j'étais prêt à passer à l'autre étape, la dernière étape, être invité aux sacrifices d'enfants.
Cela m'a bouleversé. C'est ce qui a vraiment percé ma carapace. Je n'ai pas pu gérer cette réalité. C'était comme être en enfer. Je n'ai pas suivi, et à partir de là, je n'étais plus si efficace. Toute ma carrière s'est effondrée, je n'arrivais plus à travailler.
Le dernier point que je voudrais vous adresser, est que si nous voulons être libres, le changement doit venir de l'intérieur et pas de l'extérieur. Les habitants de cette planète, doivent choisir différemment et affirmer que nous ne voulons plus jamais cela. Ça suffit !
Nous pouvons décider de nous tenir debout par nous-mêmes, former un, s'unir dans nos diversités, nous pouvons coopérer les uns avec les autres à travers le monde. Des outils existent pour cela. (…)