Témoignage : Antoine Sévérin, rencontre de 3e type à l'Île de la Réunion

Année 1975

Un jeune homme rentrait tranquillement chez lui lorsqu'il a fait face à plusieurs créatures humanoïdes.

Saint-Pierre – Île de la Réunion (France).

Avec l'aide de MilhoWonka (FreakTv).

En 1975, l'Île de la Réunion était encore très rurale. Antoine Sévérin avait 21 ans, il travaillait dans un petit commerce. Il avait la réputation d'être ponctuel, bon employé, homme intègre, volontaire, sans aucun vice. Il était tout simplement considéré comme un honnête homme.

Il travaillait beaucoup afin d'amasser suffisamment d'argent pour son mariage qui approchait, à cette époque, Antoine habitait encore chez sa mère, Marie Sévérin.

Le 11 février 1975, Antoine a fait un rêve concernant des raisins. Selon les croyances locales, rêver de raisins est un mauvais présage.

Lorsqu'il a essayé de se recoucher après ce rêve, il a entendu un petit son de bip. Le bip l'a perturbé toute la nuit. Quelques fois, le son semblait se rapprocher, d'autres fois le bip était lointain, Antoine a passé une très mauvaise nuit. Lorsqu'il s'est levé pour aller au travail, il entendait toujours ce bip qu'il était visiblement le seul à entendre. 

Il a entendu ce bip durant deux jours entiers. A un moment donné, il voulait en parler à ses amis, mais il avait honte qu'on le prenne pour un fou. Il a pensé qu'il devait peut-être se rendre chez un médecin, mais quelque chose semblait l'en dissuader dans sa propre tête ce qui n'était pas habituel.

Le 14 février, il entendait toujours ce bip, il a décidé de faire des efforts pour l'ignorer. Il s'est rendu au travail comme d'habitude. Vers midi, il a senti une forte envie de partir. Il a demandé la permission de partir à son chef, ce dernier était surpris car Antoine n'avait jamais demandé cela et surtout, il n'arrivait pas à dire pourquoi il voulait partir ni où. Toutefois, il a laissé le jeune homme partir.

Antoine a marché comme s'il était télécommandé par quelque chose. Il ne savait pas lui-même où il allait, mais il avançait. Tantôt il courrait, tantôt il marchait normalement, c'était comme le chemin pour rentrer chez lui.

Ensuite, il a dépassé un stade, puis un cimetière et il est arrivé dans une plantation de maïs. Antoine entendait toujours les bips qui le dérangeaient les jours antérieurs. Seulement, lorsqu'il est arrivé dans le champ de maïs, le son de bip s'affolait un peu, ces variations étaient comme si Antoine s'approchait de la source du bruit.

Soudain, il s'est senti obligé de ne plus bouger, comme si quelqu'un lui avait intimé l'ordre de s'arrêter. Antoine était guidé par une force invisible. A ce moment-là, le bruit du bip était intense et insupportable au point où a il mis les mains sur ses oreilles par crainte de voir ses tympans exploser.

Il s'est alors senti guidé vers la route puis à prendre un sentier au travers de l'immense champ de maïs. Il a senti une chaleur bizarre, son souffle était très chaud lorsqu'il respirait. Quelque chose l'a paralysé. Il a alors vu une scène bizarre. Il a vu ce qu'il a décrit comme une grande tasse à l'envers. Il a compris que cet objet était à l'origine des bips qu'il entendait depuis plusieurs jours.

L'objet qu'il apercevait était métallique, il brillait intensément. Il flottait à environ 1,5 m du sol et ne touchait pas directement le sol si ce ne sont les trois pieds qui en sont sortis. Il a vu des escaliers à 3 marches sortir de cet objet, l'escalier n'était qu'à quelques centimètres du sol.

Aussitôt l'escalier déployé, un petit être revêtu d'une combinaison en est sorti. Antoine décrit cette combinaison comme ressemblant à celle du bonhomme Michelin.

Il est très étrange de constater que l'apparition de la "Vierge" à Fatima, portait une combinaison similaire.

Revoir ici : Les aliens et les apparitions de la Vierge Marie

Vêtu de cette combinaison blanche, l'humanoïde qu'Antoine a vu, transportait quelque chose avec lui. Il avait un objet d'environ 30 cm de longueur qui brillait beaucoup. La créature semblait à l'aise jusqu'à ce qu'elle touche le sol. On aurait dit qu'elle ne savait pas marcher. Elle avançait très maladroitement, comme si elle ne comprenait pas qu'il fallait mettre un pied après l'autre.

Soudain, deux autres humanoïdes sont sortis de l'engin se joignant au premier. Ils semblaient sonder le sol en le grattant comme s'ils cherchaient quelque chose.

Ils avaient des antennes sur la tête, ces antennes bougeaient comme s'ils communiquaient à travers elles. Tout ce qu'ils avaient brillait beaucoup : l'engin, leurs combinaisons, leurs objets.

Un humanoïde a regardé Antoine, ses antennes se sont mises à beaucoup bouger. Au même moment, un 4^e humanoïde est apparu à la fenêtre de leur engin.  A cet instant, Antoine a été repoussé par une grande force suivie d'un éclair. Il a eu le temps de voir ces trois humanoïdes rentrer et les escaliers se replier dans l'appareil. L'engin a pris son envol causant une sorte de sifflement aigu. 

Le jeune homme qui avait été projeté au sol, s'est relevé et a couru vers sa maison. Antoine a couru chez sa mère sans jamais s'arrêter. Il est arrivé tremblant, haletant et pleurant. Il a pris un petit banc et il s'est assis dans la cuisine les mains sur la tête. 

Sa mère a constaté qu'il avait quelques griffures sur le corps et qu'il était totalement bouleversé. Elle a cru qu'il avait eu un accident.

Antoine, qui n'arrivait pas à parler au début, a narré sa rencontre avec des êtres bizarres. Il a souligné qu'ils étaient comme des petits hommes qui avaient des vêtements bizarres. Dès qu'il a raconté cela à sa mère et à une voisine qui était présente, il a été atteint d'un mal étrange. Il a commencé à avoir des problèmes de diction jusqu'à ne plus pouvoir s'exprimer. Sa vue s'était dégradée, il avait du mal à voir. Malgré cela, il est parvenu à dessiner ce qu'il a vu. 

Après cela, il a fait une syncope et a dû être emmené dans sa chambre. Marie, sa mère, a appelé un médecin. 

Le médecin a conclu qu'Antoine avait été atteint par une onde de choc, comme s'il avait reçu la foudre. Il a diagnostiqué que le jeune homme était dans un état de choc important. Il a rassuré sa mère en lui disant qu'Antoine avait certainement été projeté au sol par une force comme celle de la foudre et qu'il s'en remettrait petit à petit. 

Antoine était totalement traumatisé, il sursautait dès qu'il entendait le moindre bruit. Le lendemain des faits, le 15 février, la mère est allée directement voir la gendarmerie à qui elle a raconté tout ce que son fils avait témoigné. Elle leur a aussi dit qu'il était à présent malade, qu'il voyait mal et qu'il ne parlait plus. 

Elle leur a fait comprendre qu'Antoine n'avait jamais eu un tel comportement avant, soulignant que le jeune homme n'avait jamais eu de problèmes psychologiques ou psychiatriques par le passé. Très articulée dans ses propos, elle a expliqué que son fils n'était sous aucun traitement et qu'il ne consommait aucun produit stupéfiant. 

Les autorités qui ont pris le cas au sérieux, ont d'abord contacté le médecin afin d'entendre ce qu'il avait réellement à dire. Il a attesté que le jeune avait tous les symptômes de quelqu'un qui a vécu un grand traumatisme, mais que ses facultés mentales n'étaient pas altérées.

Sous l'ordre d'un maréchal, une enquête a été ouverte suite à l'entretien avec le médecin. Toute la brigade a participé à l'enquête. L'ordre était de recueillir tous les éléments de preuves et tout témoignage.

Conformément au témoignage d'Antoine, l'endroit où l'engin s'était posé se situait au Piton du Calvaire. C'était un terrain assez irrégulier difficile à explorer. Ils n'ont pu localiser l'endroit exact. Les autorités se sont alors rendues chez Antoine pour obtenir plus de précision sur l'endroit où il a vu l'engin. Ils ont trouvé Antoine couché sur un lit, le regard fixe vers le plafond. Ils ont posé des questions au jeune homme, mais il n'arrivait pas à parler, il faisait des gestes pour expliquer, il a même expliqué le son de bip par des gestes.

Les enquêteurs ont inspecté la maison, il n'y avait ni magazines, ni télévision. Jusqu'à ce moment-là, Antoine ne savait pas ce qu'il avait vu, ce n'est que la présence des autorités et leurs questions qui lui ont fait comprendre qu'il avait vu un OVNI.

La tour de contrôle locale a confirmé qu'aucun avion ni hélicoptère n'avait survolé le ciel le jour où Antoine a vécu son expérience. Les services de météo ont affirmé que le ciel était clair en ce jour. Il n'y avait ni sonde, ni ballon dans le ciel.

Le 17 février, toute la ville était au courant de l'histoire d'Antoine. Etant donné que beaucoup de gens le connaissaient, ils ont cru en lui. Ce 17 février en question, malgré ses problèmes d'élocution et de vue, Antoine a accepté d'accompagner les autorités où il se souvenait avoir vu l'objet. Mais dès qu'il s'approchait de l'endroit, un fort traumatisme l'envahissait et il tremblait. Il n'a pas pu les aider. Il s'est souvenu qu'une voisine était chez lui lorsqu'il était rentré en pleurant. Elle a écouté tout ce qu'il avait dit à sa maman. Antoine a demandé aux autorités d'y aller avec cette femme qui connaissait la région comme la paume de sa main, elle saurait les conduire.

La femme se souvenait très bien du récit d'Antoine et savait y aller. Elle a conduit les autorités à travers un champ et ils ont effectivement constaté des traces d'un objet qui se serait posé là. Il y avait trois trous au sol, chaque trou était à équidistance de l'autre trou. La profondeur de chaque trou était identique.

Le 26 février, Antoine avait recouvert la vue et la parole. Les gendarmes ont été appelés et il a raconté de vive voix son expérience.

Ils sont retournés sur le lieu d'atterrissage et Antoine semblait beaucoup plus calme. Lorsqu'il s'est approché du lieu, il a dit aux gendarmes qu'il sentait une force oppressive en lui, comme si on voulait l'intimider afin qu'il ne retourne plus à cet endroit, il sentait cette intimidation en lui avant de s'évanouir devant les gendarmes.

Son pouls était extrêmement faible. Il a été conduit chez lui, car quelque chose l'avait vidé de ses forces en quelques secondes.

Une fois chez lui, son pouls est revenu à la normale au bout de 30 minutes. Il a alors dit qu'il voulait retourner, mais cela s'est à nouveau reproduit. Pour son propre bien, les autorités ont décidé d'arrêter, il ne devait plus retourner sur le lieu d'atterrissage car quelque chose le menaçait réellement.

Les autorités avaient pris le récit de la mère au sérieux dès le début, car les gendarmes avaient déjà reçu des témoignages similaires, notamment, celui de Luce Fontaine en 1968. Luce avait lui aussi aperçu des êtres avec des combinaisons semblables à celui du bonhomme Michelin.

Vidéo de l'histoire de Luce Fontaine :